Salut les beautés! Re-bienvenue sur le Coco Latte Talk. Alors aujourd’hui, je vous jase de biohacking. Qu’est-ce que c’est le biohacking? Je me le fais souvent demander, en plus du neurohacking, dont je vous parle depuis l’été. Vraiment, ça devient de plus en plus mainstream, donc grand public, on voit apparaître ça. Et comme dans toute chose, il y a des extrémistes.

Si vous avez vu par exemple le documentaire avec Bryan Johnson, “Don’t Die” sur Netflix, je pense qu’à un certain moment, il prend comme 132 suppléments par jour. Et c’est facile de vouloir aller chercher des outils à l’extérieur de nous pour venir optimiser notre vitalité, notre bien-être. Mais vous savez, chez Namasté & Coco Latté, j’aime ça commencer par l’intérieur.

Donc, trouver comment est-ce qu’on peut venir optimiser à l’intérieur de soi. Comment est-ce qu’on peut venir optimiser déjà nos habitudes de vie sans vouloir aller chercher le prochain gadget qui va nous aider, qui va complètement révolutionner notre vie. Parce que quand on tombe dans le biohacking, on pense aux masques infrarouges, on pense aux tapis, aux grounding mats, donc aux tapis de mise à la terre.

On peut rapidement se monter une facture de plusieurs milliers de dollars, et moi, j’aime ça travailler avec la nature et ses bienfaits. C’est juste qu’on s’est tellement déconnecté de la nature qu’on a tendance à oublier qu’on peut venir biohacker vraiment naturellement notre corps. Alors, qu’est-ce que c’est le biohacking? C’est la science, en quelque sorte, de l’optimisation de notre corps et de notre esprit.

Le but, c’est qu’on veut venir optimiser les fonctions biologiques, améliorer la vitalité, améliorer les performances physiques, et améliorer aussi la longévité. C’est souvent le but des biohackers : vivre jusqu’à 150 ans, mais vivre en santé surtout. Donc, on travaille beaucoup en prévention et ça va utiliser les nouvelles découvertes en biologie, en neurosciences, en génétique, et même en nutrition pour venir finalement influencer positivement l’expression de nos gènes et aussi tous nos mécanismes corporels. Donc toutes nos fonctions. Il y a un lien quand même avec la naturopathie, où la naturopathie vise à travailler en prévention pour favoriser les processus d’autorégulation du corps. On est un peu dans cette idée-là aussi avec le biohacking.

Et le biohacking a pour très grand pilier l’épigénétique. Alors l’épigénétique, c’est intéressant, c’est que tes gènes, ce n’est pas une fatalité. Parce que souvent, je vais entendre dire des clients, que ce soit en naturopathie ou en ostéopathie : “Mais c’est génétique, ma mère est comme ça, mon grand-père était comme ça.”

Et ce qu’il faut comprendre aussi, c’est que nos habitudes de vie sont apprises. Elles sont apprises de nos parents, qui les ont apprises de nos grands-parents, qui les ont apprises de nos arrière-grands-parents. Donc, est-ce que c’est vraiment de la génétique ou ce sont des habitudes de vie reproduites génération après génération, qui activent sensiblement les mêmes gènes? Donc l’idée de l’épigénétique, c’est qu’évidemment, tu as un ADN.

On n’altère pas l’ADN, mais par exemple, on peut favoriser, il y a certains… c’est comme si on allumait des bons gènes qui favorisent la santé, et on peut aussi, par nos habitudes de vie, allumer des « mauvais gènes », entre guillemets, qui ne supportent pas notre santé. Et comment on fait ça? Bien, c’est nos habitudes de vie : l’alimentation, le sommeil, la gestion du stress ou l’absence de gestion du stress. Alors ça, ça va venir allumer ou éteindre certains gènes, qui vont finalement affecter notre santé globale.

À quelque part, ça nous redonne du pouvoir, parce que souvent, quand on vit des inconforts dans notre corps, et encore plus quand on se fait dire que tous nos tests sont normaux, on a l’impression que notre corps nous fait défaut. Puis on a l’impression qu’on est victime de notre corps. Mais l’épigénétique nous remet en quelque sorte dans notre pouvoir. Et notre pouvoir, c’est celui de changer nos habitudes de vie. Donc non, on ne change pas notre ADN. Si je vous en parlais la semaine dernière,

Le docteur Datis Kharrazian parle entre autres de l’apparition d’une maladie auto-immune, comme la maladie de Hashimoto, et mentionne que cela prend trois choses. Un beau cocktail, donc il va y avoir ton ADN, que tu ne changes pas. Il va y avoir aussi un événement passé : ça peut être, la recherche montre par exemple, le virus Epstein-Barr, ou ça peut être un trauma d’enfance. Tu ne peux pas le changer, c’est dans le passé. Et il y a les habitudes de vie. Les habitudes de vie, des trois, c’est la seule chose qu’on peut changer. Alors ça nous remet dans notre pouvoir : qu’est-ce qu’on peut faire dans notre quotidien?

Quelles habitudes on peut prendre pour venir finalement supporter l’expression de gènes qui vont favoriser notre santé, qui vont soutenir les fonctions d’autorégulation de notre corps? Et c’est là que ça devient super intéressant de travailler en prévention, parce qu’on vit à une époque… je ne sais pas du côté de la France comment ça se passe, mais au Québec, notre système de santé, on va se le dire, ça fait dur. Ce n’est pas une critique des professionnels de la santé, qui font un travail extraordinaire. Quand tu réussis à entrer dans le système de santé, tu trouves un personnel super compétent.

Le problème, c’est que c’est souvent très difficile d’entrer. Il y a encore plein de gens qui sont en attente pour des tests, plein de gens qui n’ont pas de médecin de famille. Alors, plus que jamais, avec le système de santé qu’on a, c’est là l’importance de travailler en prévention, de travailler à maintenir sa santé. Puis on vit de plus en plus vieux. Alors, est-ce que vous voulez vivre dans la mobilité, dans la santé, ou vous voulez vivre à avaler 32 pilules, pas capables de bouger, dans un fauteuil roulant?

Donc, ce sont les choix, les choix des habitudes de vie que vous allez faire tous les jours. C’est un vote pour le futur que vous allez avoir, littéralement. Alors, c’est ça un petit peu l’épigénétique, et c’est ça le biohacking. Et un autre pilier aussi… je vous parle des deux principaux que j’utilise beaucoup. J’en utilise d’autres, mais ceux-ci, ce sont mes préférés : l’équilibre du système nerveux. Vous savez, je vous parle beaucoup de neurohacking, puis c’est devenir finalement capable de hacker son système nerveux pour…

Parce qu’avec l’ère moderne dans laquelle on vit, on est continuellement stressé. Le système nerveux est continuellement sollicité, ce qui fait qu’on passe beaucoup de temps dans notre mode survie sympathique : survie, stress, alors qu’on devrait passer la majeure partie de notre journée dans le système parasympathique, donc le système de repos, de digestion, de réparation. On ne passe pas assez de temps dans cette sphère-ci. Alors, la régulation du système nerveux, si vous essayez de dire à votre tête : « Arrête de stresser ! »

C’est parce qu’un système nerveux qui est déréglé ne va pas répondre à la commande logique. Alors, il faut passer par le corps. Il y a une synergie entre le corps et l’esprit. Et ce qui est super intéressant, c’est que quand on se met à calmer le corps, le corps entre en parasympathique et vient informer le cerveau : « Eh, ça va bien ! On est détendu, ça veut dire qu’on est en sécurité, ça veut dire qu’il n’y a pas de lions. » Et là, tranquillement, plus on passe de temps dans cet état-là, on va surtout…

Vous savez, au studio, je vous fais beaucoup travailler avec les ondes thêta. Donc méditation, ondes thêta, ou si on combine ça aussi avec du yin yoga, du restauratif, ça permet vraiment d’amener à apaiser le corps. Et peu à peu, plus on répète, j’ai des abonnés au studio qui me disent : « Je fais juste entendre ta voix , et tout de suite, ça fait comme pouf ! » Parce qu’elles sont tellement habituées que je les guide, que je les guide dans la détente. J’ai une voix qui apaise, j’ai une voix qui est douce.

Alors tout de suite, le chemin s’est fait. Donc ça crée comme un ancrage, finalement, positif. Et là, plus vous le répétez, plus vous répétez cet ancrage-là, bien, naturellement, on vient s’apaiser. Alors, ce sont de beaux outils. Et justement, parmi les petits outils tout simples que je peux vous proposer : une meilleure routine de sommeil. Vraiment, le sommeil est tellement capital. Donc le soir, éviter la lumière bleue, créez une routine. On le fait avec les enfants, si vous avez des enfants.

Vous faites une routine, ben, probablement un peu de lecture après ça, dodo. Il y a une routine qui fait que l’enfant se prépare à aller faire dodo, mais on oublie de le faire pour soi. Donc, le corps aime ça, la routine. Et la routine, c’est ça qui bâtit la discipline. Donc vraiment, de vous créer une routine de sommeil le plus possible. Même si vous ne vous couchez… idéalement, c’est de se coucher sensiblement à la même heure. Mais même si vous ne vous couchez pas tout à fait à la même heure, d’avoir sensiblement le même rituel tous les soirs, le corps se dit : « OK. Je m’en vais me coucher. »

Donc, un petit truc tout simple : la respiration en conscience. Donc, de prendre le temps de respirer. La respiration, c’est notre moyen le plus facile de contrôler très rapidement notre système nerveux. Alors, si on expire plus longtemps qu’on inspire, on vient activer le système parasympathique. Donc, le faire avec la cohérence cardiaque, par exemple. On va inspirer en quatre temps. On va expirer en six temps. Puis, on répète ça pendant cinq minutes.

Vous pouvez faire ça au bureau. Si vous avez de la difficulté, qu’il y a plein de gens autour de vous, que ça vous énerve, vous pouvez aller le faire dans la salle de bain. Personne ne va s’en rendre compte. Un petit cinq minutes, et là, vous allez sentir un apaisement instantané. Ensuite, bougez en harmonie avec votre cycle. Je vous l’apprends beaucoup au studio virtuel Namasté et Coco Latté. Le mouvement conscient, ça va tellement augmenter votre niveau de vitalité. Et faites-le aussi évidemment si vous n’êtes pas sous anovulant ou si vous n’utilisez pas de stérilet avec hormones, parce qu’à ce moment-là, on a un cycle un petit peu plus artificiel. Vous n’allez pas nécessairement sentir… En fait, vous n’allez pas sentir le changement au niveau de l’ovulation, par exemple.

Donc, les différentes phases du cycle menstruel amènent différentes formes d’entraînement. Si par exemple, on est en phase menstruelle, c’est très rare qu’on ait envie d’aller faire un gros HIIT puis de se défoncer. C’est normal, nos hormones sont alors plus basses. Par contre, au moment ovulatoire, quand on est à notre pic, là, bien, on peut y aller avec des entraînements plus intenses. La récupération est excellente. Et à travers tout ça, il y a aussi des événements de vie. Je vous donne… Je donnais le… J’ai fait la retraite à Reset la semaine dernière et je mentionnais aux femmes que, bien, moi, j’étais dans une période hivernale cet automne. Je me suis séparée, donc je vivais un deuil, un deuil amoureux, de la trahison aussi. Alors, j’étais vraiment dans une phase hivernale où j’avais juste envie d’être avec moi-même.

J’ai pas vu beaucoup de gens, à part mon petit clan proche. Là, j’ai commencé à sortir de ma tanière. Je suis comme, OK, là, je rentre dans mon printemps. OK, le gros de mon deuil est fait. Ça a été ça, j’avais besoin de ça et je n’étais pas malheureuse là-dedans. Je me suis tellement réénergisée, ressourcée. Je me suis recentrée sur moi. J’ai recréé un sentiment de sécurité, recréé une routine aussi parce que, quand tu passes deux ans avec une personne, cette personne-là fait partie de ton quotidien. Recréer ma routine, tu sais, seule à seule avec moi-même, et j’ai eu tellement de fun, et ça a tellement consolidé ma relation avec moi.

Mais pendant ce temps-là, pouvez-vous vous dire que pendant que je vivais cet hiver intérieur-là, j’étais pas dans les entraînements super intenses. Mon corps, mon énergie, n’étaient pas là. Donc, si vous êtes sous anovulant, l’idée, c’est vraiment de suivre votre énergie du moment. S’il y a une énergie, vous avez une énergie de feu, bien, go, allez-y. Mais si vous avez une énergie qui demande, comme : je suis fatiguée, je suis drainée, bien non, c’est pas le temps d’aller… Puis surtout si vous êtes dans une phase de grand stress, c’est pas le temps d’aller rajouter un stress super intense. Donc, par exemple, une séance de spinning super intense dans une journée super stressante.

Ensuite, l’exposition à la lumière naturelle, surtout au soleil. Bon, en hiver, en Amérique du Nord, c’est un peu plus challengeant, mais en été, vraiment, ça permet de faire le plein de vitamine D et évidemment, de s’exposer intelligemment au soleil. Ça va venir réguler l’humeur aussi. C’est un petit truc de biohacking tout simple. Et en fait, je trouve ça tellement paradoxal aussi qu’on ramène le biohacking puis qu’on essaie de trouver toutes sortes d’outils extérieurs à soi quand, dans le fond, moi, je vois ça comme si on avait juste perdu notre connexion avec la nature. On a juste perdu ce lien-là avec la nature, on a perdu la connexion avec notre cycle féminin aussi. Et il y a tellement de choses qu’on peut faire, donc biohacker naturellement justement son entraînement en suivant ses saisons, on est à l’écoute de notre corps, et notre corps nous le rend.

Donc, comme je vous dis, pas besoin de trucs nécessairement externes à vous, commencez par l’intérieur de vous. Comment je peux faire aussi dans mes habitudes de vie ? Où est-ce que ça accroche un petit peu ? Et en ce moment, bien, je suis en train de préparer le programme Alignée qui débute le 7 février prochain. Donc, vous pouvez déjà vous inscrire. Et c’est un programme vraiment sur huit semaines, transformation complète.

On s’assure de réguler votre système nerveux et ça, après ça, ça vient optimiser les hormones, ça vient maximiser aussi la remise en forme. Souvent, les clients qui sont passés à travers les derniers programmes, bien, elles arrivaient, elles avaient des inconforts digestifs, tout était beau du côté des médecins. Le médecin leur dit, bien, tous les tests sont beaux. Et des fois, elles sont frustrées de ça, mais je leur répète toujours : c’est tellement une excellente nouvelle. Quand ton médecin te dit tout va bien, mais toi, tu dis, bien, j’ai des signes.

Je suis comme, c’est une excellente nouvelle, ça veut dire que c’est juste ton corps qui te lance des signaux d’alarme. T’en es pas à l’état pathologique. Alors, c’est là que c’est important de travailler en prévention, renverser la vapeur. Et le programme Alignée, c’est vraiment conçu pour vous aider justement à réguler votre système nerveux, à trouver le calme, à maximiser ensuite votre remise en forme et optimiser aussi votre système digestif.

En ce moment, je suis en train de faire mon projet de recherche sur l’apport de l’ostéopathie pour diminuer l’hypersensibilité viscérale chez les femmes atteintes d’intestin irritable. Et on est vraiment, on est quelque part dans une forme de biohacking parce que je vais utiliser un protocole, je vous en reparlerai là davantage quand mon projet sera un petit peu plus avancé, mais c’est par le toucher, un toucher rassurant, un toucher qui peut être profond, mais qui va être lent et doux. Est-ce qu’on peut venir finalement solliciter les fibres, les récepteurs Ruffini et interstitiels pour provoquer une réaction vagale, une activation du système parasympathique, ce qui pourrait diminuer l’hypersensibilité? Alors, on a tendance à oublier qu’il y a dans la peau toutes sortes de récepteurs. La peau, c’est notre contact avec le monde externe. Donc, toucher, aller se faire masser, aller voir justement un ostéo, on peut moduler une réponse nerveuse à la base.

Finalement, on va être beaucoup dans l’activation du système parasympathique. Alors, un petit truc de biohacking tout simple. Puis en plus, le toucher, ça sécrète de l’ocytocine. Donc vraiment, c’est toutes sortes d’outils. Même dans le programme Alignée, je vais utiliser mon expertise. Comment est-ce qu’en alignant la posture, on peut aussi travailler le système nerveux ? Parce que c’est sûr que si vous avez une posture tout recroquevillée, c’est stressant, c’est fermé, c’est lourd, tandis que si on travaille une belle posture, qu’on est droite, qu’on est fière, bien, en plus, tu sais, tout s’articule.

On est dans une mauvaise posture, on active les masséters. Ça active aussi le circuit sympathique. Vraiment, des études ont montré qu’une mauvaise posture, ça activait une réponse sympathique du corps. Alors, c’est un petit peu fou. Alors, dans le programme, il va y avoir ça aussi. Il va y avoir évidemment du biohacking, de la beauté au naturel aussi, parce que quand on est chroniquement stressée, ça altère notre apparence physique. D’un, ça encourage la prise de poids, on va le voir surtout au niveau abdominal.

De deux, ça encourage la dégradation du collagène, donc les rides qui vont se creuser dans nos faces et puis stressée, généralement, on va le voir dans le miroir, c’est quand, eh, OK, les petites rides sont plus marquées, les cernes sont plus marquées, la peau a l’air un petit peu plus pâle, moins de tonus. Donc, il va y avoir tout ça aussi. Puis évidemment, on aborde le mindset parce que le mindset, ça change absolument tout dans un cheminement de régulation du système nerveux puis d’optimisation. À la forme, on aborde l’identité aussi.

Donc, l’identité, le mindset viennent de pair. Si on broie toujours du noir, on devient une personnalité aussi qui broie toujours du noir. Et à l’inverse, si tranquillement on se met à intégrer, par exemple, de la gratitude ou qu’on met à amener un peu de lumière dans tout ça, bien, il y a quelque chose d’expansif, il y a quelque chose qui ouvre. Si on est toujours dans la négativité, ça se répercute sur le corps aussi. Donc bref, c’est un programme vraiment très holistique, complet sur huit semaines.

Déjà, les femmes qui sont passées cet été, on a testé en fait les six derniers mois les formules qui fonctionnaient le mieux, les modules qui fonctionnaient le mieux. On a vraiment optimisé le tout puis c’était des formules sur un mois et en un mois, il y avait des transformations extraordinaires. Si bien que les femmes revenaient après ça faire un autre mois et je me suis dit OK, bien, on va prendre un mois puis souvent c’est 28 jours, 28 à 31 jours, adopter une saine habitude et après ça, on la consolide.

Les autres journées et vous avez accès indéfiniment au programme. Donc, vous commencez, vous appliquez vos outils et, quand c’est maîtrisé, on passe à un autre appel, on passe à un autre niveau. Vous pouvez revenir quand vous voulez. C’est vraiment de l’accompagnement. Chaque semaine, on a une séance de coaching ensemble. Bref, ça fera vraiment plaisir de vous aiguiller de ce côté, de vous accompagner.

Parce que, vous savez, je vous ai parlé de mon combat contre la maladie, j’ai fait ce cheminement de travailler avec mes habitudes de vie pour venir supporter mon corps dans les enjeux que je vivais et ça fait toute la différence. Ça fait toute la différence de travailler, de travailler vraiment globalement pour venir favoriser finalement les fonctions d’autorégulation de notre corps. Alors, si ça vous intéresse, je laisse les infos dans la description.

Si vous voulez plus d’informations, vous pouvez aussi booker un appel avec moi, un appel Fit Parfait pour voir si je suis la bonne personne. Parce que ça arrive des fois que je suis comme : « Je ne pense pas que je suis la bonne personne pour t’aider. » Souvent, je réfère aussi au médecin, parce que j’ai beaucoup de femmes qui arrivent dans mon environnement. Et ça, c’est une chose aussi : j’ai beaucoup de femmes qui arrivent dans mon environnement, elles n’ont pas vu le médecin. Je suis comme : « Va voir le médecin. Avec tout ce que tu me dis, tant que tu n’as pas vu le médecin, aucune prise en charge de mon côté. » Puis, après ça, c’est le médecin qui décide qu’est-ce que tu dois faire ou pas, c’est quoi le traitement et tout.

Moi, je ne propose pas de plan de traitement, je ne fais pas de diagnostic de maladie. Alors, je sais que le système de santé, c’est difficile au Québec en ce moment, mais passez toujours d’abord par votre médecin. Assurez-vous d’être bien suivie de ce côté. Après ça, oui, on peut travailler en prévention puis on peut travailler en optimisation du côté de la naturopathie et de l’ostéopathie. Alors, si ça vous intéresse, vous pouvez booker un petit appel de 20 minutes, Fit Parfait. On évalue tous vos besoins et je vous dis si c’est la bonne chose pour vous. Alors, sur ce, on se retrouve la semaine prochaine pour un autre épisode.