Salut les beautés !

Rebienvenue sur le Coco Latte Talk, tout premier épisode de 2025. Je suis tellement excitée de vous retrouver et j’en profite d’emblée pour vous souhaiter une merveilleuse année 2025, remplie de douceur. J’ai reçu beaucoup de commentaires suite à mon bilan de 2024, une année qui, ma foi, a été remplie d’épreuves, grandes et petites.

Et cela a résonné avec beaucoup d’entre vous. Je pense qu’on est plusieurs à avoir vécu une année 2024 pas mal challengeante. Donc, je vous souhaite une année toute en douceur, remplie d’amour, de moments magiques et surtout de santé. Parce que lorsqu’on perd la santé, on réalise à quel point c’est essentiel. Malheureusement, on a un seul corps. On ne peut pas l’échanger. Nous sommes avec notre corps jusqu’à la fin de nos jours. Alors, plus que jamais, il est crucial de travailler en prévention.

Aujourd’hui, je vous parle de reset, de l’importance de faire des petits et grands resets dans sa vie. Juste avant les fêtes, avec tout ce qui s’était passé dans les derniers mois, mon corps a flanché. J’ai donc fait un petit saut à l’urgence pour une périchondrite, une infection du cartilage de l’oreille. La cause est un peu obscure : cela a commencé par une réaction allergique, puis l’infection a pris de l’ampleur.

Selon le médecin, vu que mon système immunitaire était un peu plus faible avec tous les événements de l’automne, j’étais moins apte à combattre cette allergie, et cela a tranquillement dégénéré en infection. Super! Cela m’a forcée encore plus à ralentir et à prendre conscience de l’importance de travailler en prévention.

Pendant les fêtes, j’ai consulté l’une de mes thérapeutes. Dans ma routine de self-care, j’ai évidemment une belle équipe autour de moi : je vais en acupuncture, en ostéopathie (parce que je ne peux pas m’auto-traiter), je me fais masser, et j’ai aussi une thérapeute qui travaille davantage sur le plan énergétique.

Elle m’a dit : « Je ne reviens pas à quel point tu es en forme avec tout ce qui s’est passé. Tu réalises-tu à quel point tu es en forme ? » Sur le moment, je me sentais loin d’être au top, mais en regardant l’année passée, j’ai compris ce qu’elle voulait dire.

Cet été, mes vacances ont commencé avec l’annonce de la faillite de mon école, suivie de l’incertitude sur mon projet de recherche et mon diplôme final. Heureusement, l’école a été rachetée, mais l’automne a été un véritable tourbillon : la rentrée, le lancement du podcast, trois programmes à lancer… Malgré tout cela, il y a une chose que je n’ai jamais sacrifiée : mes moments de self-care et de reset.

Je vous le dis souvent : la vie arrive, mais si vous priorisez vos moments de reset, c’est cela qui fait toute la différence. C’est ce qui m’a permis de finir l’année de manière plus solide, malgré les événements. Si je n’avais pas travaillé en neuro hacking, si je n’avais pas appliqué tout ce que je vous enseigne et que j’incarne, je n’aurais pas tenu le coup.

Cet automne, je savais que je fonctionnais sur la génératrice. Mais j’ai dialogué avec mon corps : « Écoute, je sais qu’en ce moment, nous traversons une période d’impondérables. J’ai des engagements que je ne peux pas reporter. Mais tout autour, je vais réduire au maximum pour te soutenir. »

Finalement, une périchondrite, ce n’est pas si pire compte tenu de tout ce qui s’est passé. Mais cela montre l’importance des resets et, comme je vous en parlais sur Instagram récemment, l’importance de dialoguer avec votre corps.

Parce que si vous faites la sourde oreille, que vous n’écoutez pas votre corps, que là mon corps me donnait des signaux. Puis si j’avais fait comme… chut, chut, chut, tais-toi, je continue, je pense que mon corps aurait rapidement dégénéré. Tandis que là, il y avait un deadline. Dans le sens que je tombais en vacances aux Fêtes et j’avais promis à mon corps trois semaines de repos. Et je respecte toujours les promesses que je me fais parce que je suis la relation la plus importante dans ma vie.

Alors, si je ne tiens pas mes promesses avec moi-même… Comment est-ce que je pourrais tenir mes promesses avec les autres ? Donc, l’engagement avec moi-même, il est capital et j’avais déjà dit à mon corps : « lâche pas », mais j’ai dialogué avec lui. Il y a des journées où je retrouvais une belle énergie, et d’autres journées où j’étais comme « ok », et là j’ajustais. J’ai cette latitude-là, bien sûr, parce que je travaille comme travailleuse autonome, mais même si vous êtes salarié, par exemple, c’est de dire : « Ben, le soir, ok, je vais faire ma routine de self-care » au lieu de m’écraser devant Netflix puis me noyer, je vais aller connecter avec mon corps. Je vais faire une longue séance de restauratif, juste me connecter à moi. Qu’est-ce qui va, qu’est-ce qui ne va pas, mon corps ? De quoi as-tu besoin ? Comment je peux mieux te soutenir ? Parce que souvent, on a l’impression que le corps nous lâche, mais je vous invite toujours à transformer la question : En quoi moi, j’ai lâché mon corps ?

Cette question-là est puissante parce que, d’une part, elle vous remet dans le pouvoir, dans votre pouvoir. Et d’autre part, elle vous force à passer à l’action. Parce que c’est comme, OK, j’ai laissé tomber mon corps parce que là, avec ce qui arrive, j’en ai trop. Puis des fois, comme je vous dis, il y a des impondérables. Il y a des choses qui ne peuvent pas se déplacer. Ça arrive là. Mais si vous êtes dans le dialogue avec votre corps, c’est comme : « Hé, écoute, je comprends que c’est difficile, mais tiens, comme dans ta relation, dans ta relation de couple, dans ta relation avec tes amis, regarde, c’est difficile en ce moment. J’ai besoin de support, j’ai besoin de soutien. »

Qu’est-ce que je peux faire pour toi ? Bien, ça va se traverser beaucoup mieux, ces épreuves-là, que si vous vous mettez la tête dans le sable et ne faites rien. Donc, s’offrir, puis se donner après ces grandes périodes-là de vie, parce que c’est rare qu’on soit toujours dans un tourbillon, un tourbillon, un tourbillon. Sinon, là, il faut se poser des questions sur son mode de vie. Mais souvent, ça va arriver par vagues. Il y a une vague où tout arrive en même temps, puis après ça, il y a une période de calme, de répit. Et dans cette période-là, c’est important au maximum de faire un reset.

Un reset, ça veut dire repos. Repos, repos, repos, repos, c’est la chose la plus productive que vous puissiez faire dans la vie : du repos. On n’est pas fait pour être on 24 heures sur 24, surtout pas en tant que femme avec toutes les fluctuations hormonales qu’on expérimente dans le mois. On n’est pas fait pour être toujours on. On est fait pour prendre des périodes de répit, des moments de repos chez la femme, surtout en phase lutéale, en phase menstruelle. Ça va être les phases où l’énergie est moins présente, où c’est plus une phase d’introspection.

Et après, bien comme je vous dis, dans la vie, s’il y a des… Par exemple, moi, je vivais un grand deuil amoureux, donc un grand deuil d’amoureux, de trahison aussi, parce que j’ai été trahie à la fin de cette… bien, en fait, dans cette relation-là, de réaliser : OK, pendant deux ans, j’ai été trahie. Et il y a un pardon à faire, il y avait beaucoup de choses à faire, mais j’avais besoin de m’arrêter pour faire ce pardon-là, pour m’asseoir avec moi-même puis me dire que, OK, bien, ça n’a rien à voir avec ma valeur et de refaire mon plein d’énergie, de vitalité, de réapprivoiser ma routine toute seule aussi.

Alors, il y a toutes ces choses-là parce que les événements vont arriver, la vie arrive, mais si on se met la tête dans le sable, c’est une bombe à retardement. Complètement. Et je sais, c’est difficile. C’est difficile quand on n’a jamais connecté avec soi, qu’on ne sait pas par où commencer. La fuite peut prendre tellement de formes différentes. Ça peut être du workaholisme.

Moi, j’étais Workaholic de première pour éviter de ressentir, de feeler ce qui se passait à l’intérieur de moi. Il y en a, ça va être le shopping… Ça, shoppingaholic, je l’avais aussi. J’avais pas mal les deux parce que j’allais chercher mon rush de dopamine quelque part, parce que j’étais toujours dans le travail, dans le travail, dans le travail. Donc, ça me prenait du plaisir quelque part. Puis c’est drôle parce que quand justement je suis sortie de la mentalité de Workaholic, que j’ai commencé à faire de l’espace, de la place dans mon horaire bien c’est fou, je n’avais pas envie de magasiner.

Je vais magasiner très, très, très rarement maintenant parce que cette dopamine-là, elle est comblée parce que je suis sur mon chemin de vie, je suis dans ma mission de vie, celle d’aider les femmes à vivre mieux, à aller mieux. Alors, voyez quels sont vos mécanismes de fuite, identifiez-les et plongez. Ça demande du courage de plonger au cœur de soi. Mais pour faire un reset, il faut vraiment que vous acceptiez de connecter avec vous-même.

Mais ça veut dire connecter aussi avec ces parts d’ombre. On n’est pas que lumière. Je suis là, je vous enseigne, je suis dans ma lumière quand j’enseigne et tout, mais j’ai des périodes sombres. J’ai des périodes d’ombre où je suis comme : pourquoi ça revient ? Pourquoi ? OK, ça, je n’avais pas vu cette notion d’ombre de moi. Mais plus on est confortable avec nos zones d’ombre, confortable, plus on les accueille, enfin, je devrais dire, parce que je ne pense pas qu’on devienne nécessairement super confortable avec nos zones d’ombre, mais plus on les accueille, plus ça devient facile de s’asseoir et de dire : OK, j’identifie un pattern ici, ça, c’est ma zone d’ombre. OK, je vais aller le travailler, je vais amener un petit peu de lumière là. Des fois, c’est tellement vif, c’est comme : OK, en ce moment, je ne peux pas être là longtemps. Je vais y aller à petite dose, puis je vais revenir. Donc, le reset de se reposer, ça permet ça.

Et d’éviter dans des resets aussi d’aller vous étourdir, parce que ça reste un autre moyen de fuite, de s’étourdir avec plein de gens. J’étais dans une grosse période d’hibernation, même un mois avant ma fin de session. Et les vacances, c’est un mois où je n’avais pas beaucoup d’énergie. Donc, toute l’énergie que j’avais, je la réservais justement à mes clientes, au coaching et à moi-même surtout, en priorité, parce qu’il fallait que je me nourrisse pour être capable, quand on est dans une sphère, que ce soit de la relation d’aide, de la thérapie.

Dans mon cas, de thérapie manuelle, on donne beaucoup de soins. On est vraiment dans la bulle de l’autre. L’autre est aussi dans notre bulle. Donc, il y a un échange d’énergie assez grand. Donc, il faut pouvoir être là. Alors, versez, remplissez votre coupe en premier parce que vous ne pouvez pas verser d’une coupe qui est vide. Donc, l’importance de faire ça après ma barre. Et j’étais dans une grande période d’hibernation. Je n’avais pas envie de voir personne. J’étais dans l’introspection. J’ai écrit, écrit, écrit. J’ai brûlé, brûlé, brûlé. Ça, c’est vraiment un mécanisme.

J’appelle ça… Ça s’appelle des dumps. Je ne me souviens pas du terme exact, mais en tout cas, c’est que tu dumpes. C’est vraiment que tu dumpes tout ce que tu ne dirais jamais à personne qui est en toi. Tu le dumpes sur une feuille, puis tu fais brûler la feuille dans un endroit sécuritaire, bien sûr. Tu fais brûler ta feuille ensuite. Et il y a quelque chose de tellement libérateur à ça. Puis dans une période d’hibernation, un hiver intérieur, c’est tellement important de faire ça, de libérer, libérer. Alors, j’étais dans cette saison-là, puis je commence doucement à sortir de ma tanière. Et ce que j’ai fait aussi, c’est la deuxième année que je fais ça. Donc, plutôt que de partir en vacances trois semaines et de revenir complètement rushée, je m’assure qu’avant les fêtes, le plus gros de ce que j’ai à faire au retour est fait et je m’offre un retour de vacances très progressif. Ce qui fait que ma première semaine de retour de vacances, ce n’est pas rempli au quart de tour, 40 clients dans mon horaire. Ça ne se peut pas, mais 40 clients dans mon horaire, puis ça n’arrête pas non.

Non, parce que tout de suite, je retourne dans des mécanismes de… OK, je veux juste retourner en vacances, je retourne dans ma tanière. Donc, tranquillement, tranquillement, j’apprivoise mon retour. Donc, je me prévois deux semaines, donc une première semaine plus relaxe, deuxième semaine, ça reprend, puis la troisième semaine, là, OK, je suis all-in. Et depuis que je fais ça, c’est extraordinaire comment mon corps me supporte, que mon niveau d’énergie est là.

Alors, ça m’a permis aussi de plancher sur toutes sortes d’idées pour la prochaine année parce que quand il n’y a pas d’espace, que vous ne faites pas de reset, il n’y a pas de place pour la créativité et on fonctionne juste en mode survie. Donc, le système nerveux devient juste toujours go, go, go, go, go. On vit sur l’adrénaline. Puis souvent aussi, je le vois chez mes clients, puis je l’ai vu chez moi-même, quand tu es toujours on, on, on, on, on, quand les hormones de stress redescendent, tu relaxes, tu as l’impression d’être fatigué, d’être vidé, que tu n’as plus le goût de rien faire, de la déprime totale.

Puis, dans le fond, c’est juste que là, ouf ! OK, ton système nerveux tombe en parasympathique. Donc, c’est normal, il faut accueillir ces phases de fatigue-là, après une grosse phase, après de grosses épreuves. Il ne faut pas se battre contre ça, puis il ne faut pas rager contre son corps. Ton corps est bien fait, tout dans ton corps est conçu pour te garder en vie, se réparer, se ressourcer, mais il faut que tu lui donnes les ressources, il faut que tu lui donnes le temps. Alors, si tu lui donnes le temps, c’est sûr que tu vas avoir l’impression d’être une larve. Moi, j’étais assise devant Netflix, j’écoutais à peu près tous les shows de Netflix, c’est pas possible, mais j’avais besoin de ça.

Puis mon entraînement, j’allais marcher. Je me mettais un podcast inspirant dans les oreilles puis j’allais marcher dans la nature. C’est tout ce que je faisais. Puis ça m’a tellement ressourcée, fait du bien, puis tranquillement, l’énergie a commencé à remonter. Remonter, remonter. Tandis qu’avant, j’en ai eu des phases comme ça où c’était des gros tourbillons, puis après ça, j’arrivais complètement vidée, mais là, je rageais contre mon corps, j’allais à l’encontre de mon énergie, ce qui fait que je passais des mois sur le carreau.

Là, en deux semaines, j’étais comme, OK ! Je me sens bien. OK, wow ! OK, je suis sereine. Et ça a permis à mon système nerveux de faire un reset aussi. J’avais plein de trucs évidemment de neurohacking pour soutenir mon système nerveux. Mais c’est sûr que mon système nerveux était “on”, puis je passais beaucoup plus de temps en sympathique que je l’aurais voulu. Mais c’est correct. Comme je vous dis, la vie arrive, et les outils que je vous enseigne, ça ne va pas empêcher la vie d’arriver. Par contre, ça va vous outiller pour être plus résiliente.

Plus forte face à ces stress-là et pour récupérer beaucoup plus rapidement après ces phases-là. Puis d’ailleurs, il y a l’événement de la retraite virtuelle Reset. Si vous me suivez depuis un petit moment, vous savez que les retraites, à chaque saison, j’aime ça vous proposer une nouvelle retraite pour s’ajuster justement à la saison du moment. Donc là, c’est une retraite d’hiver et j’aime tellement ça connecter avec vous en direct. C’est absolument extraordinaire de vous enseigner finalement, de vous enseigner à prendre soin de votre corps, à vous offrir de ces moments-là de reset. Alors, je suis très, très, très excitée parce qu’on va aborder trois, en fait cinq grands piliers sur trois jours, donc du 22 au 24 janvier. Le premier, donc, reset, j’en ai fait un acronyme. Alors, remise en forme et repos, l’importance entre les deux, de la synergie entre les deux, puis ça revient à tout ce que je vous disais des périodes de rush go go go, on a besoin après d’une période de repos pour maximiser notre récupération.

De la même façon que si tu t’entraînes pour gagner en force, par exemple, tu as besoin aussi de phases de repos pour récupérer. Ensuite, énergie. Comment, à travers le neurohacking, le biohacking, on peut venir soutenir notre énergie, optimiser tout ce qui se passe à l’intérieur de soi, et ça commence aussi beaucoup par la digestion. Donc, on va axer évidemment beaucoup aussi sur l’optimisation au niveau de la digestion, surtout après les fêtes où certains ont peut-être abusé des bonnes choses, de la bonne bouffe et de l’alcool et tout. Donc, l’importance de s’offrir un petit reset après ça. Système nerveux régulé. Donc, évidemment, je vais aborder le neurohacking. Vous savez que c’est mon dada. Comment, avec le neurohacking, tout simplement… On passe directement par le corps. Souvent, on va essayer de rationaliser. Bien, arrête de stresser, t’as rien pour stresser. Le système nerveux, un système nerveux coincé en mode alarme, ça ne fonctionne pas comme ça. Ça ne répond pas à la commande logique.

Donc, il faut passer par le corps, parce que les deux sont en synergie. Il faut qu’un des deux se calme. Donc souvent, toute mon expérience s’en fait autant avec mes clientes qu’avec moi-même, de passer par le corps, de venir calmer le corps avec des outils de neurohacking. On vient ensuite calmer le mental, puis on vient ensuite permettre au système parasympathique d’embarquer. Alors, j’ai super hâte de vous amener ça. Équilibre aussi et de se rappeler que l’équilibre est dynamique. Souvent, on a tellement l’impression…

L’équilibre est comme devenu une quête : je vais avoir l’équilibre entre ma vie familiale, entre ma vie personnelle, entre le travail, entre ci. Puis là, on pense que l’équilibre, c’est qu’il faut que tout soit 25 %, 25 %, 25 %, 25 %. C’est pas ça. C’est, des fois, ta famille, par exemple, tes enfants sont malades, bien là, ça va prendre 75 % de tes ressources. Ça, ça va être ça ton équilibre, ton équilibre, ça va être OK, mon 75 %, mes ressources sont là. Après ça, une autre journée, bien OK, c’est le travail qui a plus besoin.

Fait que l’équilibre fluctue comme ça et dans le corps aussi, on prendrait des prises de sang matin, midi, soir et les barèmes seraient différents selon les besoins du corps. Ça serait différent selon les journées, selon ce qu’on vit et tout. Alors, de la même façon, on a besoin d’arrêter de vouloir atteindre un équilibre parfait qui n’existe pas. Donc, l’équilibre est dynamique, il va fluctuer. Tout ça, l’important, c’est de venir soutenir, comme je l’ai dit, votre corps le plus possible.

Et enfin, transformation. Ça, c’est un beau mot. C’est un mot qui… C’était mon mot de 2024, en fait. Alors, quand j’y repense, j’étais OK, ouais, ça a été une année très transformatrice. Et une transformation… c’est challengeant. Je vais pas… En anglais, on dit « sugarcoat ». Je vais pas vous mettre du beau glaçage !

Enrober tout ça de glaçage et tout. Non, c’est challengeant une transformation parce que ça te confronte à tes peurs, ça te confronte à tes vieux schémas de pensée, ça te confronte aussi à des gens dans ton entourage qui n’ont pas envie de supporter ta transformation parce que ça les challenge, ça les ramène au fait qu’eux ne sont pas prêts à faire ce travail-là. Alors, une transformation, c’est puissant. Une transformation, ça implique une partie de destruction, ça implique que, à quelque part, il y a une partie de toi qui doit mourir, que tu dois laisser aller, un chapitre que tu dois clore. Et c’est juste dans cette transformation-là qu’on peut vraiment évoluer et s’émanciper. C’est grandir à vitesse grand V, exploser pour que la meilleure version de soi arrive. Alors, c’est challengeant. Et là, j’essaye, on est dans les résolutions, puis souvent, les gens vont prendre des résolutions, ils vont pas faire de plan de match, puis les résolutions, ça dure une semaine, deux semaines.

Des fois trois semaines, mes clientes me disent « je reviens toujours dans mes vieilles pantoufles », je suis comme « Ben d’un, t’as pas de plan de match, pis de deux, y’a une transformation qui vient avec ça, parce qu’en ce moment, la version que tu es, elle a ses habitudes-là, donc qui dois-tu devenir pour avoir de nouvelles habitudes de vie ? » Pis ça, j’en parle beaucoup dans mes programmes, dans Alignée, entre autres, qui commence le 7 février prochain. Donc, Alignée, c’était la continuité de « Align & Glow » que j’ai fait en octobre dernier.

Donc, il était vraiment axé sur la régulation du système nerveux, parce que quand on régule le système nerveux, on parvient, d’un, à implanter de nouvelles habitudes de vie. On parvient à se transformer. Si votre système nerveux est dans le tapis, la transformation va être vraiment, vraiment, vraiment difficile. Il faut commencer par venir calmer le système nerveux, créer un sentiment de sécurité dans le corps, dans vous-même, dans cette connexion, créer une connexion sécure avec vous.

Puis après ça, ben là, on peut aller à un autre niveau. Donc, c’est tellement important. On commence par ça, puis après ça, souvent, les femmes vont venir me voir aussi, elles ont un système nerveux complètement dérégulé, puis elles essaient de perdre du poids, elles sont en surentraînement, il n’y a rien qui fonctionne, elles n’arrêtent pas de prendre du poids, c’est souvent au niveau du ventre, au niveau des fesses, des hanches, puis c’est comme, peu importe ce que je fais. Elles sont dans les diètes restrictives aussi souvent. Donc, tout ça, ça ajoute du stress sur le corps.

Par mon expérience, quand on régule une fois pour toutes le système nerveux, la remise en forme devient vraiment facile. Vraiment, c’est comme, OK, mon Dieu, je me suis remise en forme, je sais même pas comment. Ça fait des années que j’essaie de faire ça, puis là, je régule mon système nerveux, tout à coup, pfff ! Ça se fait comme… pas comme par magie, parce qu’il y a quand même des efforts à faire, mais c’est OK, ça devient beaucoup plus facile. Donc, oui, ça demande du travail de se transformer, de réguler son système nerveux.

Mais ça demande aussi un travail inhumain de rester là où tu en es. Ça, tu le réalises peut-être pas, mais de rester là où tu en es, ça demande tellement plus d’efforts malsains, puis c’est des efforts perdus, c’est des efforts dans le vide, que de ne pas faire le travail de rester là où tu en es. Parce que, tu traverses la vie…

Et oui, ça demande du travail une transformation. La transformation de soi demande du travail. Je vais pas vous dire que ça n’en demande pas. Mais ça demande aussi un travail inhumain. J’espère que tu le réalises, de rester là où tu en es, de rester malheureuse, de rester… de pas avoir d’énergie, d’avoir ton système nerveux dérégulé, donc d’être stressée, de te réveiller, le cœur qui débat, pis comme « OK, qu’est-ce qui m’attend aujourd’hui ? » D’avoir un reflet dans le miroir qui ne te plaît pas. Tout ça demande de l’effort. Rester malheureuse, ça demande un effort inhumain qui taxe le corps, qui taxe le système nerveux. Puis c’est des efforts malsains, c’est des efforts perdus, c’est des efforts dans le vide. Alors que tout le travail que tu peux faire pour changer ton mode de vie, ben ça va t’élever, ça va venir te soutenir. Alors, c’est sensiblement la même charge de travail.

C’est juste que ton système nerveux qui est dérégulé, ou même toi, la vieille version de toi qui veut survivre, ben elle se dit « Ben non, t’sais, juste ce soir finalement je vais sauter, je vais sauter le gym, ben finalement t’sais, je vais pas faire ça, je m’étais dit que j’allais courir, mais je le ferais pas, je m’étais dit que j’allais faire des meilleurs choix à l’épicerie, puis finalement ben j’ai fait les mêmes choix. » Ben tout ça, c’est difficile aussi parce que ça ne supporte pas votre vitalité et c’est tellement difficile d’avancer, d’aller vers ses rêves dans un corps qui ne va pas bien.

Alors vous voyez, les deux, c’est difficile. Choisissez votre difficile. Moi, le difficile que j’ai choisi, c’est comme : « Hé, je vais le faire, le travail. Je vais le faire, le travail. Puis ça fait plus de 10 ans que je suis sur ce cheminement-là. Puis c’est pas encore parfait. Puis souvent, j’ai tendance à regarder le gap, qu’est-ce qui me reste à accomplir, plutôt que mes gains. Mais là, j’ai commencé à vraiment faire cet exercice-là, de dire : “OK,

De me comparer à ce que j’étais avant, plutôt que de me comparer à là où je veux en être.” Parce que quand on se compare à là où on veut en être, c’est jamais assez, on n’est jamais à la hauteur. Puis finalement, c’est là qu’on voit que le travail est mesuré. Mais quand on regarde ce qu’on a accompli, on se dit : “Wow, j’ai fait tout ça. Aïe aïe, OK, c’est extraordinaire, puis je suis tellement loin de tout ça.” Puis la transformation, justement, je vous parle de mon cheminement sur 10 ans. Ça s’est passé sur 10 ans, mon cheminement.

Puis bon, ce que je vous enseigne dans les programmes, dans la retraite, évidemment, c’est les shortcuts et tout. Ça n’a pas besoin de vous prendre 10 ans. Et déjà, les petites actions que vous allez mettre en place vont tellement changer votre niveau d’énergie que vous allez dire : “OK, c’est un travail, j’ai un retour sur investissement extraordinaire.” Tandis que sur les mauvaises habitudes de vie, sur ce que tu sais que tu devrais faire et que tu ne fais pas, que tu bouges pas, que tu es dans la sédentarité, que tu es dans l’auto-sabotage…

Ça va te demander des efforts aussi, mais tu n’auras aucun retour sur investissement à long terme. Tu es en train de paver la voie vers la maladie dans ton corps. Et le but, c’est de prévenir la maladie parce que quand la maladie s’installe, c’est un challenge d’essayer de renverser la vapeur. Puis des fois, elle ne se renverse pas. Donc, l’importance de faire les efforts maintenant. Et je vous dis toujours : c’est le plus petit pas au quotidien. Le plus petit pas.

Même si ça vous semble un pas de paresseuse, puis que ça vous bloque parce que vous dites : “Si je suis pas capable de faire ce pas, j’en ferai juste pas.” Ben non! Vous, vous n’arriverez pas nulle part! Donc, c’est quoi le premier petit pas que je peux faire aujourd’hui? Puis là, faut que ça devienne comme une seconde nature. On le refait, on le refait, on le refait, on le refait. Hop! On ajoute un autre petit pas. Puis là, tu te rends compte : “Aïe! Ça fait un mois que je fais ça. OK, j’ai plus de vitalité, j’ai plus d’énergie. Wow!”

Et là, ça nous encourage à continuer. Mais si vous mettez juste des résolutions pour mettre des résolutions, puis que ça fait 10 ans que c’est la même résolution sur votre vision board, là, il faut qu’on se parle. Venez faire la retraite, je vais vous donner des outils concrets.

Et la retraite, ben, c’est vraiment ça. C’est de vous offrir la marche à suivre en quelque sorte. Puis on va être sur trois jours. Donc deux journées en virtuel où on se rencontre sur l’heure du midi via Zoom ou encore via notre groupe Facebook. Et troisième journée : journée d’intégration. Ce que je ne faisais pas avant, puis je me suis rendu compte que ça prend une journée d’intégration. Parce que si vous avez déjà fait une retraite avec moi, vous savez que je donne tellement, tellement, tellement d’informations.

Et là, je me suis dit : ça prend une journée d’intégration pour laisser ça rentrer. Donc, la dernière journée, le vendredi, vous allez avoir accès à du contenu préenregistré, vous allez avoir accès à un mini-plan de match aussi. Donc, déjà, vous repartez avec : c’est quoi les plus petits pas possibles que je peux faire? Qu’est-ce que je peux faire déjà pour venir soutenir ma vitalité et tout?

Donc, c’est super hot. Puis si ça vous parle plus d’être en VIP, on a une rencontre supplémentaire le samedi où là, on va plus en profondeur, on va même avoir une pratique aussi de mouvement conscient pour venir intégrer tout ça. Là, vous avez un plan de match encore plus solide, encore plus détaillé. Puis en plus, vous avez accès à la retraite virtuelle de Neurohacking sur sept jours à faire à votre rythme quand vous voulez. Juste ça, c’est une valeur de 200 $.

Puis si vous êtes déjà all-in, vous êtes comme : « OK, moi, je suis prête! » Bien, il y a le programme Aligné qui commence le 7 février prochain. C’est 8 semaines. Je vous accompagne. On est là toutes les semaines. Vous avez des rencontres aussi individuelles avec moi.

Je fais votre plan de match, on travaille en régulation du système nerveux, on travaille en optimisation de votre digestion pour que vraiment ça vienne vous supporter. Vous avez d’ailleurs accès en bonus au programme Digest & Glow. Vous avez aussi tout accès au studio, vous avez deux mois d’accès au studio. Bref, c’est un programme qui est ultra complet, c’est vraiment une transformation totale. Et les filles qui sont passées à travers les programmes depuis cet été, c’est fou, les reviews qu’on a. Vous regarderez sur le site.

C’est vraiment beau de voir leur transformation. Puis il y a ces femmes-là qui reviennent encore, puis elles sont comme : « My God! Si j’ai atteint ça, ce premier niveau-là, en un mois avec les autres programmes, là, wow! Qu’est-ce que je peux atteindre maintenant en deux mois? » Alors, je vous invite vraiment à faire ce travail-là sur vous, que ce soit à travers Reset, que ce soit même juste à travers mon contenu. Déjà, qu’est-ce que vous pouvez implanter dès maintenant.

Alors c’est ce qui complète ce premier épisode de l’année. Et d’ailleurs, j’ai deux belles choses pour vous : donc, il y a un 10 % de rabais sur la formule VIP pour la retraite Reset avec le code PODCAST10. Et aussi, parmi toutes les personnes qui vont commenter, laisser un commentaire, laisser un 5 étoiles, toutes les personnes qui vont commenter sur du côté d’Apple, du côté de Spotify ou encore du côté de YouTube, bien, vous allez être éligibles au concours: vous allez pouvoir gagner un accès pour la retraite en formule VIP. Alors, j’ai très hâte de vous retrouver. Bonne chance et nous, on se retrouve la semaine prochaine!