Tu t’entraînes intensément pour « évacuer » ton stress? Tu sacrifies des heures de sommeil pour ta routine bien-être? Et malgré tout, ton ventre te joue encore des tours? Cette semaine sur le podcast Coco Latté Talk, j’aborde 5 trucs qui, selon la science, aggravent les symptômes du SII. Tu sauras maintenant quoi faire pour prévenir les inconforts!

Pourquoi ton entraînement intense peut aggraver tes symptômes?

Oui, bouger, c’est bien. Mais s’entraîner à fond quand ton corps est déjà sous tension? Pas l’idéal. Je vois souvent mes clientes ultra stressées qui se lancent dans des séances d’exercices hyper intenses, en pensant calmer leur anxiété. Or, un corps stressé qui s’épuise encore plus, c’est la recette parfaite pour un pic de cortisol (l’hormone du stress).

Et si tu as l’intestin irritable, ce cortisol en excès peut fragiliser encore plus ta muqueuse intestinale, augmentant la perméabilité de l’intestin et déclenchant des symptômes désagréables : ballonnements, douleurs, troubles digestifs…

Le manque de sommeil, ce saboteur invisible

Autre facteur sous-estimé : le sommeil. Trop souvent, mes clientes me disent : « Je n’ai pas assez d’heures dans ma journée, alors je coupe sur mon sommeil. »

Erreur! Un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité augmente l’inflammation, dérègle l’axe cerveau-intestin et stimule l’hormone de la faim (bonjour les fringales incontrôlables!).

Une étude publiée dans Sleep Medicine en 2020 a démontré que les personnes souffrant d’un sommeil fragmenté présentaient des symptômes intestinaux plus intenses, comme des douleurs abdominales et des troubles du transit.

Comment briser le cercle vicieux?

Diminue l’intensité : Si tu es en période de stress, favorise des entraînements doux comme le yoga ou la marche.

Priorise ton sommeil : 7 à 9 heures par nuit, pas moins! Établis une routine relaxante avant le coucher.

Apprends à écouter ton corps : Parfois, il ne faut pas en faire plus, mais en faire mieux.

Parce que oui, bien dormir et bien bouger, c’est la clé pour une digestion optimisée, une vitalité retrouvée et un équilibre hormonal au top. Et si tu veux aller plus loin, une nouvelle cohorte de mon programme Digest & Glow débute en mai. Je t’accompagnerai vers un mode de vie plus aligné qui favorisera ton bien-être digestif.

Quand la digestion est optimisée, la vitalité est optimisée.

- MF Pellerin

MOMENTS FORTS DE L'ÉPISODE

  • 00:00 Introduction au syndrome de l’intestin irritable
  • 03:09 L’impact du stress sur la santé intestinale
  • 05:46 L’alimentation et ses effets sur l’intestin
  • 08:59 L’importance de l’exercice physique adapté
  • 12:14 Le rôle crucial du sommeil
  • 14:58 Conclusion et accompagnement pour une meilleure digestion

PROGRAMME REFORM

Un tout nouveau programme voit le jour chez Namasté & Coco Latté! REFORM est un plan d’entraînement tout inclus pour t’aider à maintenir ton équilibre hormonal, retrouver ta vitalité et te remettre en forme une fois pour toutes. Ce programme unique sur la Rive-Sud de Montréal allie Pilates sur reformer, naturopathie et ostéopathie pour t’aider à bâtir un mode de vie aligné qui te permettra de retrouver ta vitalité et d’atteindre des résultats durables en matière de remise en forme.

TRAVAILLONS ENSEMBLE!

Tu es prête à réguler ton système nerveux et optimiser ta digestion pour enfin retrouver la vitalité et redevenir la meilleure version de toi-même? Découvre comment je peux t’aider à atteindre tes objectifs!

RESSOURCES

Marie-France n’est pas médecin. Elle ne propose donc pas de diagnostic ou de plan de traitement. Elle ne corrige pas non plus de déficience de santé. Les informations contenues dans ce podcast sont uniquement à visée éducative. Consultez toujours d’abord votre médecin pour toute question relative à votre santé.

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TRANSCRIPTION DE L'ÉPISODE 28

Salut les beautés! Rebienvenue sur le Coco Latté Talk. Alors, aujourd’hui, je vous parle de cinq facteurs scientifiquement prouvés qui peuvent aggraver les symptômes de l’intestin irritable.

Alors d’abord, si vous êtes régulière ici sur le podcast, vous savez à quel point je vous jase, je vous rappelle l’importance de réguler votre système nerveux. Alors, le stress chronique, c’est vraiment un déclencheur majeur du syndrome de l’intestin irritable. C’est d’ailleurs en ce moment l’hypothèse consensuelle. Le stress viendrait déréguler l’axe nerveux central qui, à son tour, dérégule l’axe cerveau-intestin. Donc, chez les personnes qui souffrent d’intestin irritable, il y aurait aussi une hypersensibilité viscérale qui s’installe.

Une étude a été publiée montrant que les personnes qui souffrent d’intestin irritable ont une activation accrue de l’amygdale. C’est une région du cerveau impliquée dans la peur et le stress. Ça crée une exacerbation des symptômes. Pour une personne, un petit gargouillis, un petit dérangement mineur, un petit ballonnement, ce n’est rien, elle le perçoit à peine. Tandis que pour une personne qui souffre d’intestin irritable, c’est démesuré et ça s’active.

Ça active finalement une réponse de douleur exacerbée dans le corps. En plus, le stress va activer la réponse inflammatoire, modifier le microbiote intestinal et, quand on sait que la majeure partie de notre sérotonine est fabriquée dans notre système digestif, c’est toute une cascade qui s’installe dans le corps, notamment au niveau de l’humeur et de l’anxiété.

Également, le stress va diminuer la production d’amylase salivaire. La première phase de digestion se passe au niveau de la bouche avec l’amylase salivaire pour les glucides. Ensuite, il va y avoir une diminution de la production d’acide gastrique. S’il y a moins d’acidité gastrique, qu’est-ce que ça va faire? Il y aura aussi moins de sécrétion d’enzymes. Donc, déjà, notre nourriture ne sera pas bien digérée.

En plus, ça crée une hyperperméabilité de la muqueuse intestinale. C’est comme si la muqueuse devenait un peu plus poreuse. Il peut alors passer dans le sang des particules alimentaires non digérées, ce qui va alarmer le système immunitaire, créer encore plus de réponses immunitaires et même encourager les intolérances alimentaires. Bref, c’est vraiment toute une cascade!

Essayez d’imaginer si vous avez un stress récurrent, un stress chronique intense tous les jours, à quel point ça peut faire des dommages sur le système digestif. C’est pourquoi, chez Namasté Coco Latté, c’est la première chose abordée dans tous les programmes. Dans mes suivis en privé, c’est aussi la première chose qu’on aborde : la régulation du système nerveux.

Deuxième chose : une alimentation riche en sucre raffiné.

Oui, ça exacerbe les symptômes de l’intestin irritable, surtout sous sa forme raffinée. On parle du sucre blanc, du glucose, du fructose qu’on retrouve dans beaucoup de produits transformés. Ça va venir nourrir certaines bactéries intestinales pro-inflammatoires, comme le candida, entre autres.

Ça peut aussi déséquilibrer le microbiote et favoriser, comme avec le stress, l’hyperperméabilité intestinale, qu’on appelle le fameux leaky gut en anglais. Cela peut aussi empirer les symptômes de ballonnement et d’inflammation digestive. Une étude a démontré que ça ne prend pas beaucoup de temps : une alimentation riche en sucre modifie très rapidement la diversité du microbiote.

Ça va aussi réduire la production d’acides gras à chaîne courte, comme le butyrate, un postbiotique essentiel à la santé intestinale. Alors, encore une fois, c’est toute une cascade! Et là, je vous entends me dire : « Ben oui! » Et mes clientes me disent : « Pas de problème, je vais remplacer le sucre par des édulcorants artificiels. »

Non, non, non! Ce n’est pas mieux! Ça exacerbe aussi les symptômes de l’intestin irritable. On parle ici du sucralose, du sorbitol… Ces édulcorants vont perturber la flore intestinale, provoquer des ballonnements, des gaz, des diarrhées chez les personnes qui souffrent de l’intestin irritable.

Donc, le plus possible, on veut se désintoxiquer du goût sucré. Le sucre est partout! On a fait la guerre au gras pendant des années, alors maintenant, le sucre est ajouté dans tout : les vinaigrettes que vous achetez, les sauces, les produits transformés. Il y en a partout. C’est souvent camouflé, donc il faut vraiment apprendre à lire les étiquettes. Et il y a même des premières recherches qui ont démontré que les édulcorants pouvaient encourager l’insulino-résistance. Pourquoi? Parce qu’on est en train de découvrir qu’on a des récepteurs sur la langue qui ont le pouvoir de dire au cerveau : « Eh, on mange du sucre! » Même si ce n’est pas du sucre, parce que ce sont des édulcorants, techniquement, ça ne fait pas bouger la glycémie.

Mais là, le cerveau dit : « OK, bien, on mange du sucre, il faut sécréter de l’insuline. » Et là, tes cellules disent : « Mais attends, il n’y a pas de changement au niveau de la glycémie… » Donc, les cellules vont venir se fermer face à l’insuline et dire : « Bien non, OK, qu’est-ce que tu fais? Pourquoi tu m’envoies ça? » Alors, selon certaines études, ça pourrait encourager l’insulino-résistance.

Je vous rappelle : on veut se désintoxiquer du sucre, et c’est souvent le changement le plus difficile.

Parce que le sucre active beaucoup les centres de dopamine dans le cerveau, c’est le changement auquel mes clientes résistent le plus. Et j’avais une cliente récemment, je lui disais : « OK, tu veux garder ton sucre, tes jujubes, ces choses-là? Tu te dis : une fois par jour, ce n’est pas nocif? Parfait! Moi, j’ai une autre opinion, mais pas de problème. Ce que tu veux faire, je vais t’épauler dans toutes les autres sphères. »

Donc, on épaule le tout, il reste encore un petit quelque chose… Je lui dis : « On serait pas mal à l’étape d’essayer de couper le sucre. »

Je lui dis : « Coupe-le une semaine, tu vas voir si c’est vraiment ça, le problème. » Elle m’écrit deux semaines plus tard : « Ça fait deux semaines que je ne consomme plus de sucre raffiné et ça fait deux semaines que je n’ai plus aucun problème digestif. » Puis elle me dit : « Là, je me sens un petit peu nounoune d’avoir résisté pendant des mois à ce changement-là, quand ça aurait tellement tout changé il y a des mois pour moi… »

Là, je lui dis : « D’un, beaucoup de compassion. Tu n’étais pas prête à ce changement-là, c’est correct. »

Je le vois surtout chez les femmes high achievers, les hyperperformantes. Le sucre devient comme un outil de plaisir. Ces femmes-là manquent beaucoup de plaisir dans leur vie, elles travaillent tout le temps. Puis je m’inclus là-dedans! Je suis une hyperperformante en rémission, je travaillais tout le temps.

Alors, mon go-to le soir pour me récompenser? Eh, du chocolat! Du chocolat, des fois…

J’étais tellement dans cette idée de manque de plaisir que je pouvais passer à travers un gros pot de jujubes. On parle de ça il y a une dizaine d’années. Ça fait une dizaine d’années que je n’ai plus ces comportements. Mais même chez moi, c’était le changement qui a tout changé pour moi au niveau digestif.

Quand je suis tombée en diète paléo, où on est vraiment dans une notion de glycémie un peu plus basse, avec un index glycémique plus bas au niveau des aliments, bien, ça a changé beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses pour moi.

Et quand j’ai commencé justement à me désintoxiquer du sucre raffiné, à aller vers des aliments à index glycémique bas, maintenant, c’est fou… Je vais manger une datte et je trouve ça tellement sucré! Une banane? Je trouve ça hyper sucré! Déjà, il n’y a pas de sucre dans mon pain aux bananes, ça goûte vraiment juste la banane.

Et quand on se désintoxique un peu du goût du sucre, bien là, on découvre aussi tout un pan de saveurs.

Alors, je vous encourage vraiment à ne pas faire le saut vers les édulcorants, mais plutôt à vous dire : « Je vais diminuer ma quantité de sucre et d’aliments à index glycémique élevé » pour voir si ça fait une différence. Généralement, en une semaine… Je le dis toujours à mes clientes : en une semaine, tu vas voir si le problème, c’est ça ou pas.

Quatrième chose qui peut encourager les symptômes de l’intestin irritable : un entraînement trop intense.

L’activité physique, c’est essentiel, mais souvent… On nous a appris… On vit dans un monde de 9 à 5, vraiment conçu par et pour les hommes. Et la femme a tendance à vouloir suivre un petit peu tout ça.

Mais chez la femme, on est cyclique. Et à chaque période de notre cycle menstruel, bien, on devrait aussi adapter notre entraînement. Ça, je vous en parle beaucoup chez Namasté & Coco Latté.

Et là, ce que je vois souvent chez mes clientes, c’est qu’elles sont déjà ultra stressées et qu’elles vont s’entraîner de manière ultra intense parce qu’elles me disent : « Bien, je vais passer mon stress. » Oui, c’est correct d’aller bouger et tout, mais bouger de manière très intense sur un corps qui est déjà intense, ça sécrète encore plus de cortisol.

Et surtout, bien, quand c’est mal adapté en période de stress… Si vous avez déjà un intestin irritable, bien, ça va augmenter la perméabilité intestinale et ça va déclencher des symptômes de l’intestin irritable.

Donc, de toute façon, souvent, mes clientes, quand vous êtes au sommet d’une crise, je vous confirme que vous n’avez pas envie d’embarquer sur votre bicyclette de spinning. Mais pas du tout!

Et aussi, bien, un exercice intensif, ce que ça fait, c’est qu’il mobilise toutes les ressources vers les muscles, vers les poumons, vers le cœur, parce que vous plongez le corps volontairement en mode survie.

Alors, bien… la digestion ne se fait pas de manière optimale.

Puis il y a une étude qui a été publiée dans The American Journal of Gastroenterology en 2018 qui a montré que les athlètes qui pratiquent des sports d’endurance vont présenter plus de troubles digestifs en raison de l’altération de la muqueuse intestinale.

Parce que oui, l’intestin, avec un entraînement intense répété, surtout si en plus vous vivez beaucoup de stress, ça va encourager une porosité de la muqueuse intestinale.

Et enfin, chose qui aggrave : le manque de sommeil.

Je le vois souvent chez mes clientes qui sont, encore une fois, hyperperformantes. Elles se disent : « Bien là, je peux pas ajouter plus d’heures dans mes journées, donc qu’est-ce que je vais faire? Je vais sacrifier le sommeil pour m’entraîner ou pour faire ma routine bien-être. »

À quoi je leur dis : « Non, non, non, non, non! S’il y a une chose qu’on ne sacrifie pas, c’est le sommeil. Super important. »

Surtout quand on sait que la sérotonine est un précurseur de la mélatonine, l’hormone du sommeil.

Alors, tout ça devient une espèce de cercle vicieux.

Donc, si déjà votre système digestif ne va pas bien, qu’il n’y a pas suffisamment de sécrétion de mélatonine, et qu’en plus vous êtes stressée, que le cortisol est haut… Ça se peut que vous ayez de la difficulté soit à vous endormir.

Donc, souvent, mes clientes vont me dire : « Ah, je suis fatiguée toute la journée, j’ai de la difficulté à fonctionner, ça me prend trois cafés… J’arrive à l’heure du dodo, super énergie, je pourrais conquérir le monde! »

Puis elles me disent : « Ah, mais c’est parce que c’est mon chronotype! »

Je suis comme… Oui, on a tous des chronotypes, effectivement. Il y a des gens qui fonctionnent mieux le soir, mais tu n’es pas censée être fatiguée toute la journée. Pas du tout!

Puis souvent aussi, c’est que ça va venir altérer, finalement, ton chronotype.

Donc, super important : un sommeil qui est insuffisant, qui est de mauvaise qualité, peut augmenter, d’un, l’inflammation.

Ça va encourager encore plus la sécrétion de cortisol.

Ça va encourager aussi l’hormone de la faim.

Ça va déréguler encore plus l’axe cerveau-intestin.

Ça va perturber la motilité intestinale.

Donc, ça, c’est votre péristaltisme, qui fait circuler les aliments dans votre système digestif.

Et tout ça aussi va venir exacerber… Comme il y a plus de cortisol, ça va exacerber les inconforts, les ballonnements.

Alors, le sommeil est capital.

C’est super important de se créer une routine de sommeil le soir, puis de travailler aussi par la régulation du système nerveux pour vraiment venir soutenir notre sommeil.

Et il y a une étude aussi, publiée dans Sleep Medicine en 2020, qui a démontré que les personnes qui souffrent d’un sommeil fragmenté avaient des symptômes intestinaux plus intenses, comme une augmentation des douleurs abdominales et des troubles du transit.

D’autres études ont aussi démontré que le manque de sommeil vient perturber la flore intestinale et que ça peut encourager l’anxiété, la dépression et même le déclin cognitif.

Alors, à quel point le sommeil est capital!

Et là, vous voyez, quand on aborde l’intestin irritable, il faut vraiment l’aborder d’un point de vue pluridisciplinaire.

En ce moment, je suis en train de finaliser mon projet de recherche en ostéopathie, qui porte sur l’apport de l’ostéopathie dans une prise en charge globale de l’intestin irritable.

Et c’est vraiment ce que j’observe dans ma section Discussions : oui, l’ostéopathie peut représenter un outil.

Mais par exemple, des clientes me disaient qu’elles avaient une belle amélioration, puis tout à coup, elles ont eu une grosse semaine ultra stressante, puis elles revenaient et me disaient : « Ah mon Dieu, mon corps est dégueulasse, ça va vraiment pas bien! »

Donc, ce n’est pas juste ça qui va aider. C’est vraiment une prise en charge globale sur absolument tous les plans.

C’est un changement d’hygiène de vie qu’il faut faire.

Des fois, je me dis… J’aime le percevoir comme ça : notre corps nous parle constamment.

Mais souvent, on n’a pas appris à se connecter avec lui, on n’a pas appris à écouter ses besoins, on ne sait pas comment en prendre soin…

Ce qui fait qu’à un certain moment, le corps va se mettre à crier.

Alors, c’est là que ça devient difficile de renverser la vapeur, parce qu’il faut y aller une couche à la fois, il faut retravailler la régulation du système nerveux.

Puis les clientes sont souvent un peu découragées quand elles viennent me voir. Elles sont comme : « Ah, j’ai absolument tout essayé, mon corps fait défaut, je ne sais plus quoi faire… »

Puis je leur dis : « Bien, on va retravailler une étape à la fois. Mais ça ne se fera pas en deux jours, ni en trois jours. Ce sont des changements qui, tranquillement, vont s’installer et améliorer ton bien-être. »

Puis chez certaines clientes, comme celle dont je vous parlais avec le sucre… On avait abordé tout le mode de vie, et il ne restait que le sucre, auquel elle résistait.

Et dès qu’on a fait ce changement-là? Ça a été un game changer pour elle.

Mais vous voyez… Des fois, le changement auquel on résiste le plus, c’est celui dont on a le plus besoin. Celui qui va nous faire le plus de bien.

Alors, si vous avez besoin d’aide à ce niveau-là, n’hésitez pas à me faire signe!

Que ce soit pour des rencontres privées, des accompagnements individuels ou encore des accompagnements de groupe, il y a le cours Digest & Glow – mon programme signature sur quatre semaines – qui revient et qui vous donne vraiment tous les outils pour transformer votre mode de vie, petit à petit, et finalement optimiser votre digestion.

Quand la digestion est optimisée, la vitalité est optimisée. On atteint aussi l’équilibre hormonal. On favorise les fonctions d’autorégulation de votre corps. Et bien forcément, on rayonne.

Alors, ça me fera plaisir de vous accompagner là-dedans! Toutes les infos sont dans la barre d’infos.

Dites-moi en commentaire : Quel est votre plus grand défi?

Et sur ce, on se retrouve la semaine prochaine pour un autre épisode!

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