Et si on arrêtait de juger notre corps? Dans cet épisode du Coco Latté Talk, je reviens sur un commentaire laissé par un homme sous l’une de mes photos, où on y voit mes abdos.

Toi aussi, tu t’es déjà surprise à juger ton reflet dans le miroir? Tu n’es définitivement pas seule. Ce réflexe, souvent inconscient, est tellement ancré dans l’inconscient collectir qu’on en oublie l’essentiel : ton corps, c’est ton allié, pas ton ennemi.

La vérité, c’est que ton corps te parle. À sa façon, il t’envoie des signaux. Une prise de poids inattendue, des ballonnements ou encore une fatigue persistante : ce ne sont pas de simples « anomalies ». Ce sont des messages. Peut-être y a-t-il un déséquilibre hormonal, une digestion qui fait des siennes, ou même un stress chronique qui s’est tranquillement installé. Et si on arrêtait de considérer ces signaux comme des « problèmes » à corriger, et qu’on les voyait plutôt comme des appels à l’aide de notre corps?

Parce que la pression de tout bien faire peut aussi devenir un poids en soi, qui encourage encore plus la dérégulation du système nerveux. Oui, manger sainement, s’entraîner régulièrement et cocher toutes les cases du « mode de vie parfait », c’est bien. Mais quand ça devient une source de stress supplémentaire, est-ce vraiment la bonne approche? Trop souvent, on en fait « trop » pour son corps, mais pas de la bonne manière. Et si tu apprenais à être un peu plus bienveillante envers toi-même?

Alors, la prochaine fois que tu surprends une pensée critique face à ton image, fais une pause. Regarde ton corps autrement. Remarque ce qui te plaît, ce dont tu es fière. Ton corps, c’est ton temple, et il mérite ton respect. Reconnecte avec toi-même. Ton corps te parle… prends le temps de l’écouter.

Apprenons à avoir de la bienveillance envers nous-mêmes.

- MF Pellerin

MOMENTS FORTS DE L'ÉPISODE

  • 00:29 Réflexions sur le jugement du corps féminin
  • 02:22 Les efforts et la réalité du corps des femmes
  • 04:21 L’impact du stress et des choix de vie sur le corps
  • 06:34 La bienveillance envers soi et la déconnexion du corps
  • 10:26 L’importance de la vitalité et de l’acceptation de soi
  • 13:19 Conclusion et appel à la bienveillance

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Un tout nouveau programme voit le jour chez Namasté & Coco Latté! REFORM est un plan d’entraînement tout inclus pour t’aider à maintenir ton équilibre hormonal, retrouver ta vitalité et te remettre en forme une fois pour toutes. Ce programme unique sur la Rive-Sud de Montréal allie Pilates sur reformer, naturopathie et ostéopathie pour t’aider à bâtir un mode de vie aligné qui te permettra de retrouver ta vitalité et d’atteindre des résultats durables en matière de remise en forme.

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RESSOURCES

Marie-France n’est pas médecin. Elle ne propose donc pas de diagnostic ou de plan de traitement. Elle ne corrige pas non plus de déficience de santé. Les informations contenues dans ce podcast sont uniquement à visée éducative. Consultez toujours d’abord votre médecin pour toute question relative à votre santé.

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TRANSCRIPTION DE L'ÉPISODE 22

Salut les beautés! Très heureuse de vous retrouver pour un nouvel épisode de podcast. Aujourd’hui, sujet un peu sensible… Je me suis demandé si vraiment j’allais parler de ça dans un podcast, parce que j’ai toujours peur que ce soit mal interprété. Mais en bout de ligne, sachez que cet épisode est rempli de bienveillance, d’amour et de petites pistes semées ici et là pour vous aider à prendre conscience. Puis, il faut nourrir cette connexion avec votre corps.

La semaine dernière, j’ai reçu un commentaire d’un homme d’une soixantaine d’années sur mon corps. C’était une photo pour le programme Alignée qui a commencé la semaine dernière, un programme de remise en forme et de régulation du système nerveux. Le commentaire disait : « C’est facile d’avoir des abdos quand tu n’as que toi-même à t’occuper et pas d’enfants. »

De un, j’ai trouvé le commentaire super déplacé, car je vis avec le syndrome des ovaires polykystiques, qui peut entraîner de l’infertilité. J’ai fait le choix de ne pas avoir d’enfants il y a longtemps. Les gens me disaient : « Ton horloge biologique finira par sonner », mais elle n’a jamais sonné. J’adore les enfants, ceci dit. Mais imaginons que j’en aurais voulu et que mon infertilité m’en avait empêchée : ce commentaire aurait été encore plus blessant.

De deux, c’était un commentaire sur le corps d’une femme. Je pense qu’il n’y a personne d’autre sur cette planète qui est autant jugée sur son corps que les femmes. Si elle est trop mince, on dit qu’elle est anorexique. Si elle est trop musclée, on dit qu’elle ressemble à un homme. Si elle a des rondeurs, on la taxe de paresseuse ou de malbouffeuse. Si elle est ridée, on dit qu’elle fait vieille, qu’elle est dépassée, qu’elle n’est plus désirable. Est-ce qu’on peut foutre la paix aux corps des femmes?

Et de trois, c’était une tentative de discréditer mes efforts. Le corps que j’ai aujourd’hui est le résultat d’efforts constants. Bien sûr, je nuance : beaucoup de mes clientes viennent me voir avec une prise de poids, souvent parce qu’elles en font trop. C’est une question d’équilibre : les justes efforts, ni trop ni trop peu. Oui, j’ai choisi de ne pas avoir d’enfants, mais je m’occupe de mes clientes. Je ne me concentre pas uniquement sur « ma petite personne ».

Ajoute à cela que je suis étudiante à temps plein, que j’ai un emploi à temps plein parce que je ne vis pas encore entièrement de ma business. Bref, ce commentaire était tellement injuste – et j’ai une blessure d’injustice! Alors, j’ai pris une grande respiration et j’ai gentiment expliqué à Pierre que son commentaire était moyenâgeux.

Et ce que je disais en gros, c’est que dans mon entourage, j’ai des mamans de deux, trois enfants qui ont aussi des business, qui n’ont pas plus d’aide à la maison et qui sont en bien meilleure shape que moi. Moi, j’ai un deux, des fois un quatre packs. Ça dépend de mon cycle menstruel et de ma digestion. Mais j’ai des amies avec des six packs qui sont vraiment en shape. C’est pas ça qu’elles font de leur vie, c’est pas leur travail. C’est juste qu’elles font des choix différents. Puis à l’inverse, j’ai des amies qui travaillent 30 heures par semaine, qui ne sont pas en forme, et elles sont bien aussi là-dedans.

Donc, est-ce qu’on peut arrêter de juger les décisions que prennent les femmes par rapport à leur corps? Est-ce qu’on peut arrêter de shamer l’expérience qu’elles ont de leur corps? Alors oui, effectivement, mon corps, et puisque je travaille dans une sphère où j’encourage les femmes à atteindre leurs objectifs et tout, le mode de vie que je prône, je l’incarne. Je l’incarne et je peux vous dire qu’au début de mon cheminement avec la maladie de Hashimoto, en fait, avant même que je sois diagnostiquée, un des premiers symptômes, c’est que j’ai pris une prise de poids.

J’ai eu une prise de poids très, très, très rapide. J’ai pris 30 livres en l’espace de quelques mois. Même le médecin avait sonné l’alarme, il était comme : « Ouh, faudrait peut-être pas continuer sur cette tangente-là », parce que je n’avais rien fait de différent. Mais c’était ma première année à l’université, j’étais dans un appartement avec un propriétaire un peu… particulier, qui m’envoyait des lettres qu’il m’avait vue tenue. Donc disons que ça a été un petit peu stressant. J’arrivais de la campagne à Montréal toute seule, sans connaître personne. Donc ça a été un petit peu stressant, déjà…

Vous voyez le terrain fertile avec le stress chronique. Et avec 30 livres soudainement prises sur mon corps comme ça, j’étais pas bien. J’avais mal aux articulations, je me sentais lourde, je me sentais pas bien. Toute ma garde-robe ne me faisait plus en l’espace de trois mois. Donc, c’était pas optimal. Et à travers tout ça aussi, à travers mon cheminement, il faut savoir que j’ai le syndrome des ovaires polykystiques qui encourage la prise de poids, et le stress chronique, ça encourage la prise de poids, mais en plus Hashimoto, hypothyroïdie, ça encourage la prise de poids. Donc tout travaillait contre moi. Alors pourquoi je suis si fière de mes résultats et de mon travail? Parce que c’est le résultat de plein de changements dans mon mode de vie. J’ai régulé mon système nerveux, j’ai optimisé ma digestion, j’ai fait des choix différents, tout simplement. On a tous 24 heures dans une journée, puis on va tous faire des choix.

Donc si tu es en train de juger le corps d’une personne qui est en forme en disant : « Oui, mais c’est facile parce qu’elle, elle a ci », ou « C’est facile parce qu’elle a de l’argent », c’est juste de t’attraper et de dire : « Ok, je suis en train de me donner des excuses ici. » Et si plutôt j’apprenais de cette personne-là? Moi, c’est toujours comme ça. Quand je m’attrape à juger, je me dis : « Ok, pourquoi je suis en train de juger? » Des fois, c’est quelque chose qui va à l’encontre de mes valeurs et je me dis : « Ok, ça prend toutes sortes de personnes pour faire un monde, ça ne dit rien sur la personne, ça peut être une personne extraordinaire, on a juste pas la même opinion là-dessus. »

De la même façon que si j’admire quelqu’un qui a un résultat, par exemple, là où je voudrais atteindre, mais que je ne suis pas là, je ne suis pas en train de la juger. Peut-être que je vais être jalouse, mais je me dis que si je suis jalouse, c’est qu’elle anime quelque chose en moi que je désire. Et moi, je crois pertinemment que si on désire quelque chose tellement fort, c’est qu’une future version de nous a cette chose. Donc, j’aime partir vraiment de cette idée-là.

Je m’attrape quand j’ai du jugement, mais je trouve que ça prend beaucoup d’intelligence émotionnelle de se dire : « OK, pourquoi est-ce que je suis en train de poser un jugement ici ? » Puis je me répète, mais est-ce qu’on peut foutre la paix au corps des femmes ? La femme, elle a un corps, point. Puis est-ce qu’on peut arrêter de shamer son expérience aussi ? Parce que justement, quand moi j’avais pris 30 livres, j’étais pas bien là-dedans, puis c’était pas la pression de la société. C’est que j’avais toujours eu une expérience de mon corps qui, en quelques mois, n’était plus celle-là.

Les femmes qui arrivent dans mon bureau, souvent, dans leur top priorité, c’est la prise de poids parce qu’elles disent : « J’ai tout essayé pour perdre du poids et j’arrive pas à perdre du poids. » Des fois, elles me montrent des photos et c’est comme : « Ça, c’est moi il y a 5 ans, j’étais bien. Je ne veux pas être super mince, je veux juste retourner là. » Elles veulent retourner à leur acquis. Quand tu as une expérience de ton corps que, soudainement, tu n’as plus, il ne faut pas shamer cette expérience-là. La femme veut retourner où elle était parce qu’elle était bien là.

Puis c’est là que, souvent, le corps reflète ce qui se passe à l’intérieur de soi. Donc, ça va refléter évidemment ce qui se passe mentalement. Toute la « shit » qu’on peut se dire en tant que femme. Puis je me disais quelque part, la femme est tellement toujours jugée sur son corps que c’est pas une surprise. C’est tellement dans l’inconscient collectif que c’est pas une surprise qu’elle se regarde dans le miroir, puis la première chose qu’elle va voir, c’est tous ses petits défauts. Puis en plus, le cerveau est entraîné à repérer l’état négatif parce que c’est un état de danger.

Donc, il y a ça. De deux, souvent, ces femmes-là qui viennent me voir, comme je vous dis, elles en font trop. Elles en font trop et pas de la bonne façon. C’est des femmes qui, souvent, vont s’entraîner comme des hommes. Cinq jours semaine, même rythme, sans égard à leur cycle menstruel. Elles s’entraînent aussi souvent sur un corps qui est déjà taxé par le stress, donc du surentraînement par-dessus tout ça qui crée encore plus de stress. Elles dorment pas bien la nuit.

Certaines vont me dire : « Oui, t’as raison, dans les dans les derniers temps, je me suis assise et je n’ai pas fait grand-chose. Je le reconnais. » Je trouve ça toujours tellement chouette et tellement vulnérable parce que, comme je dis toujours à mes clientes, dès que tu prends conscience que peut-être qu’il y a eu un laisser-aller, peut-être effectivement que je me suis oubliée parce que justement, je suis devenue mère de famille et je fais passer tout le reste du monde avant et je m’oublie moins et je prends pas ces moments-là pour moi. Ça fait que ça encourage la boucle de stress chronique. Ça prend tellement de vulnérabilité et je suis tellement…

Jamais je vais être dans le jugement d’un corps, d’une personne qui vient me voir pour son corps. Je travaille, puis tu sais, une de mes amies, je lui ai montré ce commentaire-là, puis la première réaction qu’elle a eue, c’est : « Ben voyons donc ! » Elle dit : « S’il y a une personne qui juge pas le corps des gens, c’est toi. » Puis elle dit : « Je comprends même pas ce commentaire-là. » Je lui dis : « Ben, c’est facile, des fois, les gens ont juste un surplus de haine, pis ça tombe sur toi, pis là, ils vont déverser leur caca dans ta cour. Mais moi, je lui dis : “Va porter ton caca dans ta toilette chez vous, là, pis flush ça. Mais viens pas flusher ça chez nous. Viens pas… viens pas faire caca chez nous.” »

Donc je ne suis jamais dans le jugement d’un corps. Par contre, est-ce que le corps me donne des indices sur ce qui se passe à l’intérieur ? Absolument ! Donc souvent, ça peut me dire hormonalement ce qui se passe selon la morphologie. Ça va me dire aussi, au niveau biologique, si la détoxification se passe bien, si le système digestif va bien, s’il y a des pensées toxiques qui roulent en boucle. Puis ça, j’adresse vraiment tout ça dans mes accompagnements avec les femmes parce que c’est tellement… Puis je ne fais pas d’accompagnement en perte de poids.

J’aime ça dire que j’ai créé des modes de vie sains qui viennent supporter un haut niveau de vitalité. Puis souvent, conséquence heureuse de ça, bien, c’est que les femmes vont me dire : « Aïe, ça fait un an que je stagne, un an, deux ans, trois ans que je stagne sur la balance. Puis là, tout à coup, j’ai commencé à perdre du poids. » Mais la femme surtout, ce qu’elle est heureuse, c’est qu’elle a plus de vitalité. Elle est plus heureuse, elle se sent mieux dans sa peau.

Elle a une meilleure digestion, un ventre plat, pas au sens des abdos, mais un ventre plat parce qu’elle n’est pas toujours en ballonnement. Alors c’est ça, la différence. Fait que c’est tellement facile derrière une photo de juger : « Bien, c’est facile, elle n’a pas d’enfants. » Puis on a tendance à oublier qu’à travers le fait que, c’est vrai, je n’ai pas d’enfants, j’occupe mon temps autrement. T’sais, pendant que tu es en train de faire prendre le bain à tes enfants le soir, bien, je suis en train de travailler sur ma business. Fait que c’est tous des choix différents qu’on fait, puis on n’est pas équipés pour juger les choix des gens.

Tu sais, pis j’ai toujours pensé : quand t’es occupé à créer la vie de tes rêves, à travailler sur toi, t’es pas là en train de juger les gens ou en train de répandre des commentaires haineux sur Internet. Tu ne peux pas être une personne heureuse qui travaille sur ton bonheur, sur ton bien-être, pis être en train de répandre de la haine. Impossible. Impossible. Fait que j’ai toujours quand même de la compassion pour ces commentaires-là, mais en même temps, je me dis : tabarouette, arrêtons de shamer l’expérience que les femmes ont de leur corps.

Arrêtons de juger leur corps et, plutôt, de se dire : « Comment moi, c’est quoi mon expérience avec mon corps ? » On est tellement déconnectés de nos corps. C’est extraordinaire ! Puis souvent, tu sais, je le vois dans mes pratiques. Je dis : « Levez le bras. » Puis là, j’exagère. Je dis : « Levez le bras. » Puis la personne lève la jambe. Tu sais, c’est pas… Je suis comme : « Wouh, attends, j’ai parlé du bras. » Fait que c’est des gens qui sont tellement pas dans leur corps, qui n’ont pas cette proprioception-là.

Il faut rééduquer, et c’est beaucoup ce que je fais à travers mes accompagnements avec mes clientes : se réapproprier sa maison, parce que notre corps, c’est notre temple. Des fois, on se dit : « Ah là, j’ai l’impression que je fais tout ! » Parce que je vous dis que 90 % de mes clientes qui arrivent me disent : « Là, je fais tout, je fais ça, je m’entraîne, là, je mange bien…» Tout ce que j’entends, c’est du méga stress, du jugement envers elles-mêmes, un manque de compassion envers elles-mêmes, et tout ça, ça ajoute au stress chronique.

Ça ajoute au déséquilibre hormonal… Puis en fait, il y a un grand lien aussi avec le stress chronique et la digestion, les problèmes digestifs. Donc, apprenons à avoir de la bienveillance envers soi et apprenons aussi à laisser couler ces commentaires. Des fois, c’est difficile. Il y a des commentaires, des fois, qui viennent nous chercher plus que d’autres. Puis après, je me disais : est-ce que je fais un épisode là-dessus ? Puis je me disais : je n’ai pas à me justifier.

Le mode de vie que je prône, que j’enseigne à mes clientes, c’est que je l’incarne, puis ça parle de soi. Quand tu incarnes pleinement ce que tu es, que tu répares cette connexion-là avec toi-même, que tu régules ton stress, c’est sûr que ton corps te le rend. Et encore là, je vous rappelle que l’idée, ce n’est pas d’avoir des abdominaux, des ventres plats, des six-packs. C’est tellement pas ça, l’idée de cet épisode. C’était vraiment juste de dire : arrêtons de juger le corps des femmes et comprenons plutôt que ce qui se passe dans notre corps, c’est souvent un cri d’alarme de notre corps qui nous dit : « Hey, il y a quelque chose qui fait défaut. »

En plus, avec tout ça, il ne faut pas sous-estimer tous les facteurs environnementaux. On a énormément de pesticides, on a énormément de trucs que notre corps ne parvient pas à filtrer, et ça aussi va se stocker, par exemple, au niveau du gras. Donc on peut voir une prise de poids, par exemple, qui est liée à un surplus, à un excès de toxines dans le corps, au sens naturopathique, bien sûr.

Alors voilà, j’espère que cet épisode résonne pour vous. Si c’est le cas, n’hésitez pas à laisser un petit commentaire. Puis je vous encourage à avoir de la bienveillance pour vous aujourd’hui. Chaque fois que vous allez attraper une pensée négative ou poser votre regard dans le miroir avec un discours négatif, recadrez-le tout de suite vers quelque chose que vous aimez chez vous. Parce qu’il y en a, des parties de notre corps qu’on aime. Je pense que ça fait partie de l’expérience humaine de juger, de vouloir, de l’expérience de l’ego, de juger, de séparer et de vouloir diminuer aussi.

Puis je trouve que parfois on est tellement dans une société où on essaie de discréditer le succès d’autrui comme si : « Ah bien, elle, elle a ça parce qu’elle a ça. » C’est comme une personne : « Ah bien oui, mais elle, elle a de l’argent parce que ses parents avaient de l’argent. » Elle est juste née dans un cadre différent. Il y a des personnes dont les parents ont de l’argent puis que ça ne marchera pas pour eux. Et à l’inverse, il y a des personnes qui naissent dans des familles ultra-pauvres puis qui renversent complètement ça. C’est des expériences différentes, et c’est ce qu’on en fait, ces expériences-là.

Puis c’est de réaliser aussi : est-ce que j’en fais trop, est-ce que je ne fais pas les bonnes actions ou est-ce que je n’en fais pas assez ? Fait qu’il y a trois niveaux quand même à explorer, que j’ai explorés dans ce podcast-ci. Alors bref, vous me laisserez savoir si ça résonne pour vous. Et sur ça, on se retrouve très bientôt pour un autre épisode.

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