Salut les beautés, et rebienvenue sur le Coco Latté Talk!
Donc aujourd’hui, je vous jase de dysbiose intestinale et du lien avec l’intestin irritable ou même tout simplement les inconforts digestifs. Alors je veux vraiment vous aider à comprendre comment un déséquilibre au niveau de votre flore intestinale — qui est remplie de micro-organismes — bien peut venir influencer finalement les symptômes digestifs, mais également les symptômes de l’intestin irritable. Alors, on commence tout juste à étudier le microbiote et à comprendre vraiment leur fonctionnement sur l’ensemble du corps. Donc la santé mentale également, il y a beaucoup de recherches qui se font à ce niveau.

Alors c’est quoi le microbiote intestinal? C’est un écosystème assez complexe, qui est composé d’un milliard de micro-organismes vivants dans notre tube digestif. Et ces organismes jouent un rôle vraiment crucial — oui évidemment dans la digestion — mais aussi dans la régulation du système nerveux, dans la communication avec le cerveau et même la santé mentale. Et il y a des études qui ont démontré que les personnes atteintes du syndrome de l’intestin irritable présentent souvent une dysbiose, c’est-à-dire un déséquilibre au niveau du microbiote. Et ce déséquilibre-là peut entraîner une inflammation chronique, une perméabilité intestinale accrue.

C’est quoi la perméabilité intestinale? C’est que, naturellement, nos jonctions — petites cellules dans notre système digestif — sont quand même assez serrées. Donc, des jonctions serrées. Sauf que, sous l’effet du stress entre autres ou d’un déséquilibre de la flore intestinale, bien ces jonctions-là deviennent un petit peu plus lâches. Ce qui fait que normalement, l’espace est juste assez grand pour laisser passer des particules digéréesque notre système immunitaire reconnaît et dit : « OK, ça, ça va. » Mais là, comme ces jonctions-là sont un petit peu plus lâches, bien ça laisse passer des particules qui sont non digérées. Et ça, le système immunitaire ne les reconnaît pas. Alors là, ça peut venir activer une réponse au niveau du système immunitaire.

Ça peut aussi, chez les gens qui souffrent d’intestin irritable, bien, ça peut engendrer une hypersensibilité viscérale. Donc, pour une personne qui aurait des petits gargouillis absolument normaux, des petits ballonnements… chez la personne qui souffre d’intestin irritable, ça va devenir complètement démesuré. Alors y’a vraiment une part où on devient très sensible à tout ce qui se passe au niveau digestif. Et évidemment, il peut y avoir des douleurs abdominales, des ballonnements, des troubles du transit.

Et évidemment, le stress est souvent en cause — une grande cause — dans la dysbiose intestinale. Puis je vous explique rapidement pourquoi. On a l’axe HHS : hypothalamo-hypophyso-surrénalien. Donc l’axe qui va dire finalement de sécréter des hormones, le cocktail du stress! Là, je vous résume ça, je vous vulgarise ça à fond, évidemment. Et ce cocktail d’hormones du stress, bien ça va inhiber l’acidité gastrique. Ça va limiter aussi, inhiber la vidange gastrique. Donc la digestion finalement se fait vraiment pas bien, parce que t’es en mode survie. Donc ton corps, les ressources de ton corps vont vers ton cœur par exemple, vers tes poumons, vers tes muscles pour lutter, fuir, combattre.

Il va y avoir également, chez certaines personnes, une augmentation de la motilité du côlon — fait qu’il n’y a pas suffisamment de réabsorption d’eau. Alors c’est là que la diarrhée peut se produire. Comme je le disais, une augmentation de la perméabilité intestinale, une dysbiose aussi au niveau de la flore…

Et tout ça, en fait, ce beau cocktail, va amener la synthèse de protéines pro-inflammatoires, comme entre autres l’interleukine-6. Donc ça crée finalement de l’inflammation. Chez les gens qui vivent avec l’intestin irritable, on a toujours une inflammation de bas grade qui est un petit peu latente dans le corps.

Cette inflammation-là, puis cette dysbiose, ça va créer une réponse de stress. Donc l’axe cerveau–intestin va également être altéré. Comme ça crée une réponse de stress, ça va encourager l’axe HHS à produire encore plus d’hormones du stress.

Ça devient finalement un beau cercle vicieux, duquel il devient super difficile de se sortir.

Mais je vous rassure… c’est possible. C’est possible. Et je vais vous expliquer comment.

Donc d’abord, les causes possibles : le plus évident — une alimentation déséquilibrée. Donc une consommation excessive d’aliments transformés, remplis par exemple de préservateurs chimiques, riches en sucre aussi, ce qui va favoriser certaines bactéries — exemple : le candida. Une alimentation riche en gras saturés aussi…

Alors ça, ça peut encourager évidemment la dysbiose intestinale. Le stress chronique, parce que oui, le stress, avec le cortisol, comme je vous disais, ça va venir altérer la composition du microbiote…

Ça va aussi affecter la motilité intestinale — c’est le mouvement au niveau du système digestif.

Et les antibiotiques. Oui, les antibiotiques sauvent des vies. J’en ai eu besoin juste avant les Fêtes, quand j’ai fait une périchondrite — donc c’était impossible que je m’en sorte sans antibiotiques. Mais leur utilisation fréquente peut vraiment venir éliminer les bactéries bénéfiques. Et je l’ai vu!

J’étais tellement contente d’avoir, derrière la cravate, toutes mes études en naturopathie pour vraiment mettre en place tous mes outils pour refaire ma flore intestinale, parce qu’en moyenne, les chercheurs estiment que ça peut prendre jusqu’à deux ans avant de vraiment rétablir ta flore. Ça, c’est si tout se passe bien dans les deux ans : que tu ne vis pas trop de stress, que tu manges super bien, que tu fais super attention…

Donc ça peut même aller au-delà de deux ans. Fait que oui, c’est pas banal, évidemment, la prise d’antibiotiques. Donc, moi, j’ai été un bon deux, trois mois où… ouf, j’avais un retour de symptômes d’intestin irritable que je n’avais plus eus depuis des années, sauf en de très rares cas. Par exemple, en fin de session super stressée.

Donc là : hiver, séparation, séparation de l’automne, je roule encore un petit peu sur le deuil, j’avais aussi beaucoup de stress par rapport à mon projet final.

J’étais dans ma fin d’études, j’avais une dernière fin de session… Bref, c’était un petit peu Bagdad dans mon système digestif 😅. Mais j’étais vraiment contente d’avoir tous ces outils-là.

Après trois mois, me revoilà avec un ventre plat, que tout va super bien. Ça s’est redéposé et là, je suis redevenue avec un ventre serein.

Donc voilà : l’importance de travailler aussi en post-antibiotiques, de travailler à rebâtir votre flore intestinale, c’est super important.

Les infections gastro-intestinales : il y a certaines infections qui peuvent altérer durablement le microbiote. Comme dans mon cas, l’intestin irritable, j’avais toujours eu une tangente vers des problèmes. J’avais toujours eu des problèmes digestifs. En fait, du plus loin que je me souvienne, j’étais soit dans la constipation, soit dans la diarrhée. Fait que ça fait sans doute très, très, très longtemps que je vis avec l’intestin irritable.

Mais c’est là où tout a dérapé : c’est quand j’ai attrapé l’e. coli à Cuba. Et après ça, ça n’a plus jamais été la même chose pour moi. C’est là que j’ai commencé à avoir des solides crampes. Après ça, j’ai eu d’autres antibiotiques, puis ça m’a… ça m’a achevée. Et je suis rentrée en intestin irritable. Puis j’ai été des années à chercher quoi faire, à errer, jusqu’à temps que je fasse mes études moi-même en naturopathie, après être tombée sur un super naturopathe qui m’a aidée à remonter la pente.

Alors oui, certaines infections peuvent altérer durablement le microbiote. Des infections parasitaires aussi — les gens qui voyagent. Des infections parasitaires qui ne sont pas gérées, donc le parasite s’installe dans le tube digestif et peut causer des diarrhées chroniques, par exemple. Ça peut faire partie des causes. Le portrait est global de ce qui peut causer une dysbiose intestinale.

Il y a aussi — on pourrait aller loin — toutes les toxines, évidemment, qui peuvent perturber.

Des pistes pour équilibrer le tout, pour restaurer, atténuer…

Parce que c’est sûr que quand on vient réguler la flore intestinale, rétablir l’équilibre, il y a forcément une diminution des symptômes de l’intestin irritable. Ça se passe mieux, on a plus de vitalité aussi, parce qu’on se met à mieux digérer nos nutriments.

Alors, le plus évident encore une fois : une alimentation adaptée. Une alimentation qui est riche en fibres, en fruits, en légumes, qui est pauvre en aliments transformés.

Je dis toujours à mes clients : 80/20. Donc 80 % des aliments dans votre panier d’épicerie devraient être des aliments qui n’ont pas besoin d’étiquette, parce que ce sont des mono-ingrédients : fruits, légumes, viande, œufs, poisson.

Et un 20 % transformé, mais le moins possible. Idéalement sans additifs chimiques.

Tout ça peut vraiment aider. Donc l’alimentation, c’est super, super important.

Je vous encourage aussi, si vous ne l’avez pas déjà fait, à aller explorer la diète FODMAP. Dans mon cas, la diète FODMAP ne s’est pas avérée concluante, malheureusement. Ça me laissait juste avec une liste interminable, et dès qu’on essayait de réintroduire, ça ne fonctionnait pas du tout.

J’ai essayé la diète végane aussi — qui a été la pire pour moi — parce que c’est très riche en lectines, et je ne tolère pas du tout les lectines.

Donc pour moi, ce qui a le mieux fonctionné — puis ce que je conserve encore majoritairement aujourd’hui, c’est une diète plus tendance paléo / méditerranéenne. C’est vraiment la diète qui fonctionne à merveille pour moi.

Mais ça, c’est vraiment à explorer avec un professionnel pour voir ce qui fonctionne pour ton corps à toi. Parce qu’il n’y a pas une seule recette qui fonctionne chez tout le monde.

Justement parce que, si je peux dire, l’empreinte bactérienne, l’empreinte intestinale, de la flore intestinale, est différente pour chaque personne.

Donc, chez certaines personnes, il y a des aliments qui vont bien se digérer — parce qu’elles ont les enzymes pour, parce qu’elles ont les bactéries pour. Chez d’autres personnes, ça ne fonctionnera pas.

Dans mon cas, par exemple, je digère déjà pas bien le lactose. Mais j’ai des amis, d’autres personnes, pour qui le lactose ne pose aucun problème.

Donc voilà, il faut explorer. Puis il faut comprendre la recette qui fonctionne pour notre corps.

Et surtout, faut pas s’obstiner à donner à notre corps quelque chose qu’il ne tolère pas. J’ai des clients qui me disent : « Oui, mais c’est tellement bon, le fromage… je veux pas arrêter d’en manger, même si ça me fait mal! »

OK, mais… est-ce que tu veux aller mieux ou tu veux que la condition se détériore?

Après, c’est des choix. Moi, je suis pas là pour juger tes choix ou quoi que ce soit. Je suis là pour te dire que si ton corps ne veut pas un aliment, c’est qu’il te parle. C’est qu’il n’a pas la capacité de bien le digérer, de bien le métaboliser.

C’est pas un aliment dont il veut. Fais-lui du bien à travers tout ça.
Travaille avec ton corps, pas contre lui.

Les produits fermentés, puis les ballonnements qui s’aggravent, bien là, il faut regarder peut-être : est-ce qu’il y a une intolérance, par exemple, à l’histamine?

Toujours d’un point de vue un petit peu plus ostéopathique, et non évidemment de la médecine.

Et aussi, ce qui peut vraiment aider : la gestion du stress. Je vous en parle tellement chez Namasté Coco Lalté, le neurohacking.

Je vous ai fait un épisode la semaine dernière sur justement la respiration, qui est un outil de neuro-hacking complètement gratuit que tout le monde a.

Donc, comment venir hacker son système nerveux avec juste la respiration pour amener une réponse parasympathique? La méditation… La méditation, souvent les gens pensent qu’il faut s’asseoir en lotus, méditer pendant des heures. Gang, c’est pas ça.

T’es dans la pleine conscience de ce qui est. T’es dans un état de méditation, dans la pleine conscience. Je regarde ici tout autour, parce que les feuilles ont commencé à apparaître dans les arbres, puis à chaque jour, je suis comme : « Ah! Il y a plus de feuilles, il y a plus de verdure. »

Quand je suis dans ce moment-là, je suis comme : « Ça va bien. »

Mais souvent, ce qui arrive, c’est que notre tête — notre cerveau — est entraînée à repérer le danger. Donc notre cerveau va être dans les spéculations : « Ça, ça va pas bien… » ou « dans l’avenir, j’ai besoin de ça… »

Ramenez-vous dans le moment présent. Allez marcher en nature. Écoutez les bruits — sans rien dans vos oreilles. Écoutez le bruit de vos pas au sol. Qu’est-ce que vous sentez? C’est toutes les bonnes odeurs de fleurs qui commencent à éclore…

Toutes ces petites choses-là viennent travailler à calmer le système nerveux.

Et l’activité physique régulière. Activité, si vous êtes en stress chronique, modérée, évidemment. J’avais fait un épisode justement sur le sujet.

L’entraînement physique intense sur un intestin qui est déjà perméable, sur un corps qui est déjà très stressé, bien, ça peut empirer les ballonnements.

C’est pas rare qu’une cliente m’arrive puis me dise : « Je ne suis plus capable de m’entraîner… Ou plutôt, je m’entraîne, puis après ça, je suis en ballonnement, je suis en crise, j’ai mal au ventre. »

OK, bien là, il y a beaucoup de stress à gérer. Fait qu’on va travailler à gérer ton stress, à y aller modérément, puis à comprendre aussi qu’en tant que femme, on a des phases dans notre cycle menstruel.

Ça aussi, je vous en parle souvent : le cycle syncing, donc vraiment de vous synchroniser à votre cycle, mais pas juste à votre cycle menstruel — à votre énergie du moment aussi.

Parce que ça se peut que vous soyez en phase ovulatoire — où vous seriez censée vous sentir comme une déesse — pis que c’est pas ça du tout, parce qu’il arrive plein de choses dans votre vie privée, au travail, beaucoup de stress.

Alors là, on ne va pas surtaxer un corps qui est déjà taxé par le stress. On va y aller avec des pratiques plus douces, comme du yoga.

Ça peut être un yoga vinyasa, là — parce que souvent, les gens me disent : « Ah mais c’est plate le yoga, on bouge pas, on fait rien. »
Je dis : « Attends… T’as pas fait une de mes classes? Va voir sur YouTube! J’ai plein de classes de Pilates, de yoga, yoga en tout style. »

Fait que oui, il y a des formes yin, où on est un petit peu plus dans l’étirement, où on veut une réponse au niveau des fascias.

Quand on est en restoratif, on est vraiment dans la régulation du système nerveux. On veut pas d’inconfort. C’est comme une doudou, un cocon.

Et quand on est dans le vinyasa, on est un petit peu plus dans le mouvement. Il y a différents paliers de vinyasa — ça peut aller jusqu’à du Power Vinyasa, des classes vraiment plus intenses.

Trouvez votre compte là-dedans, selon votre énergie du moment.
Ça va vraiment vous aider. Ça va aider votre système digestif.

Et si ça vous intéresse d’en apprendre plus sur votre intestin, d’apprendre comment optimiser votre digestion, il y a la retraite Gut Reset, qui s’en vient en juin.

Vous avez sept jours — sept jours de retraite en fait — et c’est rien pour surcharger votre système nerveux. C’est des petits outils super simples à utiliser au quotidien.

Chaque jour, vous avez accès à de nouveaux outils pour vraiment vous aider à reconnecter avec votre ventre, vous redonner du pouvoir.

Parce que souvent, on a un professeur à l’école qui nous dit — un professeur médecin — qui nous disait que l’intestin irritable, c’est un bordel médical. On ne sait pas quoi faire avec ça.

Les outils qu’on met en place, souvent, ça prend une approche très globale. On parle de thérapie cognitive-comportementale, on parle d’alimentation…

Il disait : « Malgré tout ça, malgré tout ce qu’on réfère, il y a encore un très haut taux d’échec. On ne sait pas encore. La recherche est encore naissante. »

J’en ai fait d’ailleurs mon sujet de recherche en ostéopathie : est-ce que l’ostéopathie peut servir comme outil pour aider l’hypersensibilité viscérale chez les femmes atteintes d’intestin irritable?

Jusqu’à date, c’est des résultats très préliminaires — j’avais vraiment un petit groupe — c’est plus une étude exploratoire, mais il y avait de beaux résultats.

Je me suis dit : c’est super intéressant. Ça peut vraiment servir dans le cadre d’une approche pluridisciplinaire, parce que c’est pas une seule chose.

C’est un syndrome, un ensemble de facteurs qui viennent, entre autres, altérer la flore intestinale.

Donc c’est super intéressant. C’est le genre d’études qui me passionnent à fond. Et mon but, à travers Gut Reset — qui se déroule sur une semaine — c’est vraiment de vous donner le maximum d’outils.

On va avoir une première rencontre live pour connecter tout le monde ensemble.
Il y a un groupe privé, dans lequel vous allez pouvoir me poser des questions, dans lequel je vais interagir avec vous au quotidien.

Je vous donne beaucoup de contenu. Si vous êtes habituée de faire une retraite avec moi, vous savez que je donne beaucoup, beaucoup de contenu.

Et également, à travers tout ça, il y a aussi le programme Digest & Glow, le programme à succès chez Namasté Coco Latté, qui revient en juin.

Alors j’ai super hâte de vous guider de ce côté-là.

Je vais mettre tous les liens dans la barre d’infos, et j’ai vraiment à cœur de vous aider à retrouver un ventre plat et serein.

Quand je dis un ventre plat, c’est pas un ventre d’abdos. C’est tout simplement… Les femmes me disent : « Je peux même pas rentrer mon ventre à la fin de la journée. Je rentre même pas dans mes pantalons. »

J’arrive à la maison, puis j’endure rien de moulant sur moi. Fait que je mets tout de côté.

Alors je veux vous aider à vous redonner un peu de pouvoir, réaliser qu’à travers vos habitudes, vous avez un pouvoir sur ce qui se passe dans votre flore intestinale, dans votre système digestif, puis vous aider à trouver un peu de répit.

Alors, si ça vous intéresse, faites-moi signe dans la barre d’infos.

Oubliez pas aussi de laisser un 5 étoiles, de laisser un petit commentaire, de partager avec des gens autour de vous qui ont peut-être des petits inconforts digestifs chroniques qui ne passent pas, malgré tous leurs efforts.

Ça me fait plaisir de pouvoir vous aider à ce niveau-là.
Alors, sur ce… on se retrouve la semaine prochaine pour un autre épisode!