Salut les beautés, re-bienvenue sur le Coco Latte Talk. Alors aujourd’hui, je réponds à la question « Comment j’arrive à tout faire ? » Je pense que c’est la question qu’on me pose le plus souvent, c’est comme « Mais tu fais tellement de choses ! » Donc oui, je suis naturopathe, ostéopathe, j’ai mon bureau de ce côté, je suis en train également de faire mon projet de recherche en ostéopathie, j’ai mon studio virtuel Namaste Coco Latte où j’enseigne du yoga, du pilates, plein de trucs de bien-être, de neuro hacking. J’ai également…

mon studio de reformer à la maison, donc j’enseigne du pied à la tête sur reformer. Bref, je fais beaucoup de choses et les gens me disent : « Mais comment t’arrives à tout faire ? » Alors la réponse simple : j’ai un système nerveux régulé, tout simplement. Et ça, ça me permet d’avoir l’énergie essentielle pour réaliser mes rêves. Parce qu’on ne le réalise pas, mais souvent on est taxé au quotidien. On est par exemple, je vais vous donner plusieurs choses qui peuvent taxer votre système nerveux, mais…

On est par exemple dans un emploi qu’on n’aime pas et ça, ça vient grandement miner notre énergie. Et là, on n’a pas l’énergie de faire autre chose si notre système nerveux est axé. Notre corps est en mode lutte, en mode fuite. Notre corps n’est pas dans l’imagination de « je pourrais intégrer quelque chose de nouveau qui m’amène vers mes rêves ». Pas du tout. Votre corps est en mode survie. Votre cerveau aussi est en mode survie. Alors l’importance de venir travailler à réguler son système nerveux pour ensuite…

pouvoir s’aligner et vivre la vie de ses rêves, puis que finalement ce qu’on fait, nous nourrit. Alors je vous jase aujourd’hui sur ce qui vient nuire à votre système nerveux. C’est des choses auxquelles vous ne pensez peut-être pas nécessairement. Donc je viens de vous en parler : un emploi qu’on n’aime pas ou dans lequel on ne se sent pas valorisé. C’est sûr que ça, ça vient taxer le système nerveux. On travaille en moyenne 40 heures par semaine, surtout quand on travaille pour quelqu’un d’autre, c’est environ ça. Donc on travaille pour les autres et ouf !

On n’est pas valorisé, on ne se sent pas bien là-dedans, c’est sûr que ça vient taxer le système nerveux, on ne se sent pas hot, ça peut amener de la déprime, ça peut amener à se démoraliser puis de dire : « On va passer notre vie là ». Alors l’importance, je sais, bon on est évidemment à mettre du pain sur la table, mais là, voir comment est-ce que je peux commencer à incorporer des éléments. Si votre rêve, par exemple, c’est de partir votre propre business, bien comment je peux commencer ? Soit mettre de l’argent de côté, ce qui va me donner un coussin financier.

Comment est-ce que je peux incorporer plus de ce que j’aimerais ? Est-ce qu’il y a justement une façon, des tâches que j’aimerais faire au travail qui pourraient me valoriser ? Alors, y aller, travailler déjà à partir de ce qu’on a, mais d’ouvrir la porte à « OK, qu’est-ce que je veux réellement ? Ce serait quoi un emploi qui me valorise ? » et de se questionner par rapport à tout ça. Et déjà, ça va mettre le cerveau en marche. Quand on pose des bonnes questions au cerveau, notre cerveau veut travailler pour nous. Donc, poser des bonnes questions au cerveau, c’est dire « OK, je vais trouver une façon de finalement me valoriser à travers mon travail. »

Il y a également les relations conflictuelles. Ça, c’est un grand, grand stresseur, que ce soit avec sa famille, avec son conjoint, au travail, avec les amis. Des relations conflictuelles, on se co-régule aussi en communauté, il y a cet aspect-là. Mais parfois, des gens autour de nous qui, eux, ne sont pas bien régulés, bien, viennent un petit peu nous déréguler. Donc, ne pas hésiter à aller chercher de l’aide, à consulter un thérapeute de couple, par exemple, ou une psychologue, et de travailler aussi sur soi et, naturellement aussi, quand on travaille sur soi.

Ça commence à faire du ménage un peu autour de nous, tranquillement, et de se demander, quand on est allé chercher de l’aide, qu’on a adressé la situation avec les personnes concernées, si ces personnes-là restent sur leur position, que ça continue à générer des conflits, bien, peut-être, on est dans une saison d’automne, peut-être que cette relation-là ne me sert plus vraiment, peut-être que cette relation-là ne m’élève pas. Donc, l’importance de s’entourer de gens qui nous élèvent. Alors entourez-vous de gens qui vous supportent dans ce que vous désirez.

et de gens qui vont vous aider à co-réguler votre système nerveux en vous offrant de l’aide, par exemple, ou le support dont vous avez besoin. On n’y pense pas, mais les mauvaises habitudes de vie, le sommeil, par exemple, un mauvais sommeil fait monter le taux de cortisol. Il y a la malbouffe également, donc mal manger prive le corps de plein de nutriments dont il a besoin. Le cerveau a aussi besoin de nutriments pour bien fonctionner et justement pouvoir réaliser ses rêves, s’accomplir dans un travail qu’on aime, par exemple.

Et le surentraînement, je le vois beaucoup dans ma pratique. Les femmes, surtout, se surentraînent, s’entraînent comme un homme sans égard à leur cycle menstruel, et c’est du surentraînement. Elles sont super stressées puis elles vont se défoncer au spinning, elles vont courir de longues distances. Et ça, ça peut être très, très bon de dépasser ses limites, mais pas quand le corps est déjà taxé, par exemple par le stress. Il y a des phases du cycle où, en effet, on peut se permettre des entraînements plus intenses, mais quand on approche nos règles en fin de phase lutéale, la progestérone encourage la dégradation des protéines musculaires. Donc, ce n’est pas là qu’on va travailler l’endurance et la force. On va plutôt vers des pratiques plus douces. Et marcher, c’est un sport. Complètement. Marcher, c’est un sport. Donc, allez marcher. Ce n’est pas un sport de mémé. Allez marcher, ça régule le système nerveux. Surcharger votre horaire, là, là, celle-là, j’en ai été coupable bien longtemps.

Il n’y avait pas d’espace dans mon horaire pour respirer, surtout avec l’école et le studio virtuel. J’avais aussi un travail à temps plein, parce que le travail à temps plein me servait à payer mes études et à bâtir la business que je voulais, Namasté et Cocolaté. Donc c’était très stressant pour moi d’avoir un horaire bouqué au quart de tour. Je travaillais toute la semaine, j’étudiais toutes les fins de semaine, ma vie ressemblait à ça. Même du plus loin que je me souvienne, quand je travaillais comme journaliste, je pouvais faire des stretches de 60 jours en ligne de tapis rouge.

À quel point c’était drainant pour mon corps. Et maintenant, quand je regarde mon horaire, s’il manque d’espace pour respirer, je suis comme… je suffoque et tout de suite, je me dis OK, je rectifie le tir. Est-ce qu’il y a des choses que je peux déplacer ? Est-ce que je peux ajouter plus de bien-être ? Puis des fois, la vie arrive. Il y a des phases de lancement, par exemple. C’est super intense. Mais là, je me dis à ce moment-là, je vais faire encore plus d’efforts à l’extérieur de ce cadre-là. Parce que parfois, la vie arrive et on n’a pas le choix. Mais à l’extérieur de tout ça, je vais venir encore plus supporter mon corps, je vais pratiquer des yoga très doux, je vais beaucoup être dans la pleine conscience, la méditation, aller prendre des marches au soleil. On a tellement un bel automne au Québec. Donc on profite de tout ça, on régule son système nerveux le plus possible. Et bien là, j’en parle un peu, du manque de moments de bien-être à l’horaire. Et souvent, bon, vous savez, je ne suis pas très fan de dire qu’il faut cocher le bien-être à l’horaire, j’aime ça. Je vous en parlais la semaine passée justement. Le bien-être, c’est vraiment un mode de vie.

On ne peut pas stresser notre corps vers le bien-être. Fait que des fois, juste d’ajouter une tâche dans notre horaire, une tâche de bien-être, ça devient une source de stress. Des fois, c’est la première chose aussi qui va sauter de l’horaire, si l’horaire est surchargé. Et là, on se sent coupable de ne pas prendre ces moments-là pour soi, mais il faut vraiment que ça devienne un mode de vie à tout moment. Parce qu’on a cinq minutes entre deux clients, on regarde dehors, on respire, on relaxe, on va marcher un peu, on s’oxygène, on boit, on s’hydrate bien. Alors, tous ces petits moments-là au quotidien font partie d’un mode de vie. C’est sûr qu’au début, chez des personnes qui n’ont aucune routine de bien-être, on va y aller avec une petite to-do list qu’on ajoute tranquillement, qu’on intègre à une autre habitude de vie pour que ce soit plus facile. Mais en bout de ligne, il faut que le bien-être devienne vraiment un mode de vie, et c’est là que ça va vous supporter dans vos rêves.

Le mindset négatif ou le discours interne dégradant, on ne le réalise pas, mais c’est souvent les mêmes pensées qui tournent en boucle dans notre tête et ce ne sont pas toujours des pensées qui nous élèvent. Et de se demander, est-ce que je parlerais comme ça à ma meilleure amie, à mon conjoint, ma conjointe ou pas ? Puis de se dire, ok, mais si je ne dirais pas ces choses-là, pourquoi je me les dis à moi-même ? Puis est-ce que ces personnes-là me diraient ces choses-là ? Donc, de travailler à avoir d’un…

La pratique de la gratitude est extraordinaire pour ça, de s’entraîner pour le mindset positif, avoir du positif dans tout. Puis je vous garantis, même dans les pires journées, ça peut être difficile, mais il y en a des moments positifs dans tout ça. Ne serait-ce que de dire, bien, c’était une journée difficile, mais j’ai gardé le sourire, puis tout s’est bien passé pour la suite, tu sais. Tous ces petits moments-là, mais de s’entraîner, s’entraîner à la gratitude, c’est…

tellement, tellement, tellement important. Puis plus on s’entraîne à la gratitude, plus aussi on va repérer les choses positives chez soi. Dire, « Hé, j’ai réussi à faire ça aujourd’hui ! » Aïe, c’est tellement un bel exploit ! Je suis fière de moi ! Alors, de se donner des tapes dans le dos plutôt que des coups de pied au derrière, je prends vraiment ça. « Vouloir tout faire ! » celle-là, je la travaille encore, je vous l’avoue. Donc, vouloir tout faire, faut apprendre à déléguer.

Et c’est difficile. Personnellement, je suis une grande perfectionniste et j’ai réalisé dans la vie, je travaille beaucoup et j’ai travaillé beaucoup dans la performance. Et je réalise que mon bon, mon correct, c’est l’excellent de bien des gens parce que j’ai des standards très élevés. Donc je me disais, mais voyons, je ne peux pas déléguer, c’est jamais bien fait, ce n’est pas correct, je vais le faire moi-même. Puis j’essayais, puis finalement, ça ne fonctionnait pas. Je revenais, puis ça a fini par nous brûler. Donc cet été, bon, il est arrivé.

Je me disais que j’allais revamper mon site web et finalement, ce n’était pas aussi facile que je le croyais même si j’avais fait mes précédents. Là, ça ne fonctionnait pas du tout, je n’arrivais pas à l’idée que je voulais, alors j’ai lancé un SOS sur mon site. Puis finalement, j’ai une âme extraordinaire qui est venue m’aider. Elle, a fait ça en huit heures, ce que moi, ça m’aurait pris des semaines à faire. Donc mon champ, d’être dans sa zone de génie puis de déléguer là où on n’est pas dans notre zone de génie.

Bien oui, je suis capable de le faire, mais ça m’aurait pris des semaines. Puis finalement, à mon bout de ligne, quand tu regardes ton tarif horaire, puis que ça te prend des semaines, tu te dis, c’est pas plus rentable d’engager quelqu’un. Moi, je ne serais pas en train de rager. Je ne devrais pas mettre de côté d’autres tâches, d’autres tâches qui sont aussi importantes parce que cette tâche-là occupe tout mon temps, pis ce n’est pas ma zone de génie. Donc, d’apprendre à déléguer, de dire, OK, ben les choses…

tu donnes des commandes claires, au besoin tu reviens, tu dis « ok, je veux voir ça, je préférerais ça » et finalement, en bout de ligne, c’est extraordinaire ce qui se passe quand on apprend à déléguer, puis nous, ça nous permet d’être dans ce qu’on aime faire et dans notre zone de génie aussi. Et enfin, c’est sûr que quand tu es aligné avec ta mission de vie, puis mission de vie, ça n’a pas besoin, on pense souvent qu’une mission de vie, c’est quelque chose d’extraordinaire, de très grand à la mère Teresa, pas du tout.

Une mission de vie, c’est quoi tes dons ? Dans quoi t’excelles ? T’es bonne à quoi ? Puis de se dire, OK, super, ça c’est ma zone de génie, c’est ma zone d’expertise, puis je peux aider des gens qui n’ont pas cette expertise et qui la recherchent, exemple. Mais quand on s’aligne avec sa mission de vie, c’est extraordinaire le flot d’énergie qu’on a, parce que ça nous nourrit. Donc, par exemple, moi, d’aider les femmes à réguler leur système nerveux, à optimiser leur digestion, à retrouver la forme, la vitalité.

Ça m’allume tellement parce que les petits conseils que je leur donne, les petits ajustements qu’on fait, elles reviennent après ça au prochain rendez-vous. My God, j’ai essayé ça et c’était extraordinaire. C’est des petits changements qui ont tout changé pour moi. Je me dis c’est ça le pouvoir. Et je sais que ces femmes-là se mettent à rayonner parce qu’elles se sentent bien dans leur peau, que leur système nerveux est régulé. Puis en retour, elles rayonnent sur tout le monde autour. Donc, de s’aligner avec sa mission de vie.

Ça nous supporte dans l’accomplissement de nos objectifs. Ça nous donne tellement d’énergie. Alors c’est quoi ton don ? C’est quoi ta mission de vie ? Dans quoi t’excelles ? Puis surtout qu’est-ce qui te passionne aussi à travers tout ça ? Puis si tu as besoin d’aide justement pour venir supporter ta digestion, réguler ton système nerveux, bien entre autres il y a le programme Digest and Look qui commence le 7 novembre jusqu’au 5 décembre. Donc vraiment une formule intensive sur quatre mois.

Intensive, ce n’est rien de chargé pour surcharger votre horaire, vous en avez déjà assez. Tout est conçu pour vous permettre d’alléger, de laisser aller ce qui ne sert plus, d’adopter de nouvelles habitudes, de nouveaux modes de vie qui vous soutiennent, d’adopter aussi le mouvement conscient. Alors, un super beau programme dans lequel je vous accompagne. On a des rencontres à toutes les semaines. Tout est disponible en rediffusion. Alors, je vous mets le lien dans la barre d’infos et ce sera un plaisir de pouvoir vous aiguiller de ce côté.

Alors si ce podcast vous a plu, n’hésitez pas à mettre un 5 étoiles, à me laisser également un petit commentaire. Chacune de vos actions permet à mon podcast de se démarquer et je peux continuer à vous donner plein de conseils ici sur ce podcast. Alors sur ce, on se retrouve la semaine prochaine !