Salut les beautés, re-bienvenue sur le Coco Latte Talk. Alors aujourd’hui, je vous jase d’une phrase, je débute en fait par cette phrase qui a beaucoup résonné pour vous sur les réseaux sociaux. On ne peut pas stresser notre corps vers le bien-être. Je l’ai mentionné à la fin d’une publication, à la fin d’un reel qui parlait de l’automne, comment se détacher de ce qui ne nous sert plus. Et autant dans ma clientèle que…

sur les réseaux, c’est devenu comme une espèce de quête, de destination à atteindre. On aborde le bien-être, finalement, comme une autre tâche sur notre liste. Par exemple, on va au yoga, on fait une heure de yoga, on se dépêche pour y aller. On arrive dans notre cours, on relaxe, et qu’est-ce qu’on fait en sortant tout de suite ? On retourne à notre rythme. Donc, une heure de notre temps dans la journée qu’on a fait « check ». Sur la liste, oui, mais je fais du yoga. Oui, mais le reste de la journée, tu la passes complètement dérégulée, avec le stress dans le tapis.

De la même façon, tu vas méditer 15 minutes et ensuite, le reste de la journée, tu la passes complètement déconnectée de toi. Ou encore, tu vas t’entraîner sans égard à ton énergie du moment, sans respect de ton cycle menstruel, parce que les hormones amènent chacune leur spécificité selon l’endroit où tu en es dans ton cycle. Puis on pense faire du bien à notre corps, mais souvent tu es déjà super stressée, et en fait avec ton entraînement, tu vas ajouter une dose de stress à ton corps.

Alors, on a vraiment commencé à classer le bien-être un peu comme une tâche. Et là, on se sent coupable de ne pas remplir cette case-là sur notre to-do list, de ne pas venir l’accrocher. Donc, cette idée de culpabilité aussi, de ne pas mettre son bien-être à l’horaire. Mais je vous le rappelle, tu ne peux pas stresser ton corps vers le bien-être. Tu dois trouver le calme. Et le bien-être, en fait, ce n’est pas une destination à atteindre, c’est un mode de vie.

Ce n’est pas quelque chose que tu mets juste dans ton horaire et « check ». C’est vraiment un mode de vie que tu adoptes chaque jour. C’est à tout moment, tu dois travailler à ton bien-être. Et en fait, je dis travailler, mais ça ne devrait pas être un travail. Ça devrait être notre nature profonde. On s’est tellement déconnecté de la nature, de notre cycle, surtout en tant que femme. Mais là, je t’invite à revenir à toi-même, à revenir à ta nature cyclique, à te reconnecter à toi-même pour que vraiment le bien-être fasse partie de ton quotidien.

Alors, le bien-être c’est quoi ? C’est, par exemple, dans ta journée, tu vas te sentir complètement submergée par le stress, mais tu vas prendre quelques minutes pour aller marcher, aller ventiler, pour respirer, faire de la cohérence cardiaque, faire une méditation même si ce n’est pas à ton horaire. C’est d’utiliser tes outils même si ce n’est pas au moment où tu le désires et de se dire « ben, je ne vais pas attendre ma méditation ou mon yoga de ce soir pour aller relaxer et pour…

liquider ce qui se passe à l’intérieur de moi ». Non, je vais utiliser mes outils maintenant pour venir me réguler. Ce sont même ces petites habitudes de vie qui vont soutenir notre bien-être ou non. Donc, ce n’est pas juste de dire « bien, check, j’ai fait ma séance de yoga ». Non, c’est ce que tu vas mettre dans ton panier d’épicerie. C’est toutes les autres actions que tu vas poser au quotidien qui vont venir soutenir ton bien-être. Apprendre à dire non, par exemple, ça régule tellement le système nerveux de dire non.

C’est une limite ici. Je ne peux pas. Et puis « non » est une phrase complète. Vous n’avez pas besoin de justifier. Cela va soutenir votre bien-être. Ça va venir réguler votre système nerveux. Puis je pense aussi à l’épicerie. Ce que vous mettez dans votre panier d’épicerie va soutenir ou non votre bien-être. Ce n’est pas d’aller s’entraîner une heure, puis ensuite de mettre de la malbouffe, des aliments transformés, dans votre panier d’épicerie. Ça n’a pas de sens. Donc c’est vraiment que…

finalement, ces petites étapes de bien-être que l’on met ici et là deviennent plutôt un mode de vie. On se pose la question : chacune de nos actions, est-ce que ça soutient mon bien-être ou est-ce que ça nuit à mon bien-être ? Et souvent, on a tendance à vouloir ajouter, ajouter, ajouter à l’horaire. Moi, je vous invite à dégager, à enlever de votre horaire. Qu’est-ce qui n’a plus sa place ? On est en automne, en plus, en ce moment, en octobre.

Alors, c’est le temps de se détacher de ce qui ne vient pas soutenir votre bien-être. Alors, qu’est-ce qui ne soutient pas votre bien-être ? Qu’est-ce que vous pouvez laisser aller en ce moment ? Vous allez voir que quand on laisse aller ce qui ne soutient pas notre bien-être, ça fait de la place à ce qui soutient notre bien-être, tout simplement. Donc, on n’a pas plus d’heures dans une journée. Puis je ne suis pas meilleure que vous en bien-être. C’est juste que j’ai fait des choix différents, des choix qui vont…

soutenir un système nerveux régulé. Ce n’est pas juste quelque chose à faire. Puis je l’ai fait au début aussi, je me disais « mais voyons, je fais tout ce qu’il faut ». Je fais ma petite séance de méditation tous les matins. Je fais ma séance de yoga. Je mange bien. Mais à travers tout ça, j’avais complètement oublié que c’étaient des petites actions sur ma liste et le reste de la journée, je la passais dans le stress, dans le chaos, complètement dérégulée. Et c’est là que j’ai compris, attends.

Je dois bâtir un mode de vie qui va venir soutenir mon système nerveux pour que mon système nerveux puisse ensuite soutenir mon corps, lui permettre de s’exprimer dans sa pleine santé, dans sa pleine vitalité. Alors, qu’est-ce qui soutient mon bien-être et qu’est-ce qui ne le soutient pas ? Je l’enlève de ma liste, tout simplement. Puis je pense aussi que le bien-être est devenu un peu une industrie, comme plusieurs autres, et je le vois, entre autres. J’ai commencé à m’intéresser beaucoup au neuro-hacking. Je l’enseigne d’ailleurs dans mes programmes.

Et autant c’est super intéressant, il y a des trucs de bio-hacking, de neuro-hacking, par exemple votre montre qui vous dit « Eh, ok ! » qui vous motive à bouger. C’est un super truc de bio-hacking. Mais il y a d’autres trucs. Je me dis « mais voyons, c’est tellement une industrie », quand tu en es rendu à avoir besoin de tapis de grounding. Va juste marcher dehors, pieds nus. Donc, on a l’impression qu’on doit toujours chercher à l’extérieur. On pense avoir besoin d’un outil extérieur pour venir nous réguler. Mais le corps est tellement extraordinaire. Tout dans votre corps est conçu pour constamment s’autoréguler. Mais il y a des éléments externes. Des fois, les éléments sont aussi à l’intérieur de soi, au niveau du mindset, entre autres. Mais tout est organisé pour pouvoir s’autoréguler. Mais on va toujours essayer de chercher à l’extérieur : c’est quoi la nouvelle tendance ? C’est quoi le nouveau truc qui va être in ? Donc, le bien-être est aussi devenu un élément tendance. Mais non, c’est une nature profonde. Donc, d’apprendre à surtout réguler avec des outils tout simples, d’aller s’enraciner à l’extérieur. On est encore en été, on a encore de belles températures ici au Québec. Faites-le pieds nus. Pieds nus dans le gazon, juste pour connecter avec la terre. Pas besoin d’un tapis à 300 $ pour vous enraciner. Puis oui, il y a plein de gadgets. Comme je l’ai dit, la montre peut être super intéressante. Puis des fois, ça peut venir nous donner un petit coup de pouce. On va le voir avec les suppléments, entre autres. Parfois, ça peut juste venir donner un petit boost au corps. Mais il ne faut pas oublier d’aller à la cause première, d’aller voir quelles habitudes.

viennent déréguler mon système nerveux et comment je peux travailler à coût zéro avec ces petites habitudes-là. Donc je le répète encore une fois, plutôt que de te demander qu’est-ce que tu peux ajouter, quel gadget tu peux ajouter, qu’est-ce que tu peux enlever dans ton horaire qui va te permettre de souffler. Parce que souvent aussi, nos horaires sont réglés au quart de tour. Le mien, mes to-do lists avaient des to-do lists. Là, de ralentir le rythme et de me dire, j’ai commencé à faire des choix comme OK.

Si j’accepte ce contrat-là, est-ce que ça supporte mon bien-être ou ça crée du stress dans mon horaire, puis ça vient complètement me déréguler ? Puis là, je vais être obligée de coincer quelque part ma séance de yoga en espérant que cette heure-là me fasse du bien et efface les 23 autres heures où je suis complètement stressée. Et je suis tellement stressée que je ne dors pas bien. C’est pour ça que je parle des 23 autres heures. Alors, qu’est-ce que je peux enlever maintenant qui va venir supporter mon bien-être ? Alors c’est ce que je vous aide à faire du côté de Namasté et Coco Latte, que ce soit à travers l’abonnement au studio virtuel.

en coaching privé ou encore à travers les programmes d’accompagnement. Je vous aide vraiment à bâtir un mode de vie qui vient réguler votre système nerveux, qui vient supporter votre bien-être. Ce n’est plus juste des cases à cocher sur sa to-do list. OK, je me sens bien parce que je vais aller faire mon petit pilates ou mon petit yoga. Non, c’est vraiment des outils de neuro-hacking. C’est du mouvement conscient. Comment s’entraîner en fonction de notre énergie du moment, de notre cycle aussi.

de nos habitudes de vie, des habitudes de vie qui vont venir supporter notre bien-être, la régulation de notre système nerveux et le mindset aussi. Parce que si notre esprit ne supporte pas notre bien-être, ça ne donne rien. Tu vas aller faire ton yoga d’une heure le matin, puis le reste de la journée, les pensées malsaines, toxiques, vont rouler en boucle dans ta tête. Donc, c’est vraiment un tout. Et je vous laisse là-dessus. Le bien-être, c’est un cheminement. Ce n’est pas une destination à atteindre. Ce n’est pas quelque chose que, ouf, on coche, on en est rendu là, on le fait. Non.

C’est tous les jours, dans toutes nos actions. Il faut que toutes nos actions du quotidien viennent supporter finalement ce bien-être. Alors sur ce, on se retrouve très bientôt pour un autre Coco Latté Talk !